Au bureau, tout le monde a un impact environnemental plus ou moins élevé, en fonction de ses habitudes. Il est donc primordial de prendre conscience de ses impacts et de pouvoir les réduire petit à petit.
Voici donc les 50 écogestes les plus simples à appliquer au sein de l'entreprise.
Les écogestes présentés dans cet article sont classés dans plusieurs catégories :
Il sera peut être compliqué de mettre en application tous les écogestes dès le début, mais c’est important de trouver quels sont ceux qui sont les plus pertinents par rapport à son activité, pour les appliquer pas à pas.
Voici donc les 50 écogestes au bureau.
Déchets et alimentation :
L’énergie :
Les déplacements :
Le numérique :
Le télétravail :
Nous avons créé une infographie reprenant tous les écogestes, à consulter et afficher sans modération.
Si vous souhaitez plus d'informations à propos de cet article, ou si vous souhaitez organiser un atelier sur les écogestes au sein de votre entreprise, n'hésitez pas à nous contacter.
Après avoir rédigé un article sur “ les erreurs à ne pas commettre en RSE”, le webinaire sur “les 5 erreurs à ne pas commettre en RSE” va pouvoir aiguiller les connaissances à ce sujet. Ce webinaire permet d'approfondir différents points qui sont :
C’est avec 5 erreurs bien distinctes que cet article va aborder ces différents points.
L’une des erreurs qui se fait le plus souvent, c’est de se précipiter dans une démarche, en brûlant les étapes primordiales. Une entreprise qui met directement les pieds dans le plat, n'aura pas un plan d’action en cohérence avec la réalité de l’entreprise.
C’est pourquoi, il est conseillé de d’abord :
La démarche RSE demande énormément de ressources humaines pour se réaliser. En effet, si une seule personne travaille sur le sujet et que tous les autres collaborateurs ne sont pas informés : la démarche RSE sera très compliquée à mettre en place.
Il est donc important et primordial :
Alors, oui, ces actions sont importantes mais sont parfois juste là pour faire joli et n’ont pas de véritable impact sur l’activité de l’entreprise.
De plus, il faut faire attention à ne pas tomber dans le greenwashing. Prenons l'exemple d’une concession automobile, cette dernière vend une voiture à un de ces clients. Pour avoir une bonne image de la part de ces clients, elle offre en cadeau un arbre à planter. Est-ce vraiment crédible par rapport à l’impact qu’a la voiture sur l’environnement ? Un arbre suffira-t-il pour contrebalancer l’achat d’une voiture ? La réponse est non.
Il est donc recommandé que d’avant de traiter ces sujets de forme (mettre une ruche sur le toit de l’entreprise), il faut d’abord s’attaquer à des sujets de fond. C’est en se concentrant sur ces sujets de fond, que la RSE aura un impact positif sur notre Environnement.
Le replay du webinaire est déjà disponible sur YouTube.
En effet, beaucoup d’entreprises ont peur de communiquer en externe car ils ont peur du bad buzz et ne se sentent pas légitime à l’idée de partager ce qu’ils font, pensant cela insuffisant.
Pour ne pas tomber dans ces peurs, il faut :
Le fait de communiquer en externe engendre des avantages considérables à l’entreprise comme :
Un label peut être très pertinent pour permettre de valoriser sa démarche RSE. Cependant, cela demande du temps mais aussi de l’argent.
Avant toute chose, il faut que l’entreprise structure sa démarche et sensibilise ses équipes comme vu précédemment. Sinon, les équipes risquent de perdre en motivation à propos de la démarche, qui risque, elle, de s'essouffler et l’entreprise aura perdu du temps et de l’argent.
Pour illustrer ces propos, voici une infographie qui récapitule tout le webinaire sur “les 5 erreurs à ne pas commettre en RSE”. De plus, si vous avez manqué ce webinaire, il est disponible en replay sur youtube !
Il est parfois compliqué de trouver toutes les aides auxquelles une entreprise peut avoir droit. C’est pourquoi nous avons décidé d’en regrouper certaines, afin d'en faire une liste non-exhaustive, au niveau national ou au niveau régional, afin de permettre à tous de les retrouver facilement.
Il contient une première partie sur les aides globales, à destination des entreprises de tout secteur. Ces aides peuvent être distribuées au niveau national, à toute entreprise du territoire national et, il y a également des aides répertoriées en fonction des régions dans laquelle l’entreprise est implantée.
Une seconde partie de ce guide des aides concerne spécifiquement les entreprises du secteur tourisme/hôtellerie. Ici, ce sont des aides qui couvrent différentes problématiques du secteur.
Voici le guide des aides, à télécharger et à consulter sans modération.
Si vous souhaitez avoir des informations complémentaires, n’hésitez pas à nous contacter.
Le programme TraveRSEe a eu lieu ce vendredi 20 mai dans les locaux du Bio Pôle de Léa, à la Rochelle. Il a été réalisé par la Technopole de la Rochelle. Son objectif : faire découvrir l’entreprise de demain aux différents acteurs du territoire de la Rochelle : salariés, étudiants, chefs d’entreprises. Des intervenants, des ateliers, des tables rondes tout au long de la journée, ont amené des réflexions aux participants présents.
Durant cette matinée TraveRSEe, différents thèmes ont été abordés pour faire émerger des questionnements, des réflexions de la part des participants.
Dans un premier temps, c’est l’entreprise 15 marches qui est intervenue pour une plénière sur “l’entreprise de demain'' avec ses deux associés Noémie Aubron et Stéphane Schultz.
Les échanges ont eu lieu sur 3 controverses qui sont :
Ce dialogue a permis de mieux comprendre les attentes des différentes parties prenantes sur les enjeux du monde d’aujourd’hui dans une entreprise, avec ces aspects sociaux et environnementaux.
Ensuite, place aux tables rondes animées par Marion MARTINEZ ! La première table ronde a permis d’évoquer les risques à ne pas engager sa transition. Ce sont 3 intervenants, avec un parcours professionnel totalement différent, qui ont pu nous mentionner des éléments de réponses :
La deuxième table ronde avait pour objectif de redéfinir sa performance : en comptabilité, avec de nouveaux indicateurs, la finance verte avec Maria EL JAOUDI de l'ADI Nouvelle-Aquitaine et Wadie El Awad de Goodwill-management.
Ces deux termes sont à prendre en compte par les entreprises car c’est vers là que le monde de l’entreprise se dirige.
L’après-midi était réservé à différents ateliers participatifs comme :
Ces ateliers du programme TraveRSEe ont permis aux participants d’avoir des clés pour leur transition dans leur entreprise.
Pour visualiser et se remémorer de cette superbe journée, la technopole de la Rochelle a fait appel à une artiste talentueuse : Chloé KOSSMANN, pour réaliser deux fresques. Ainsi, elle a pu mettre en évidence les différents sujets évoqués de son point de vue extérieur et les rendre plus marquants pour tous, grâce au visuel.
La première fresque recense toute la matinée. La deuxième, elle, partage les réactions des participants par rapport aux différents ateliers de l’après-midi.
Si vous voulez suivre l’actualité de la Technopole de la Rochelle, vous pouvez la suivre sur les réseaux sociaux. De plus, vous pouvez participez à nos différents ateliers que nous proposons chez Rupture Engagée, comme les Fresques du Climat ou du Numérique.
Cette année, en France, le jour du dépassement est tombé le 5 mai, soit 3 mois plus tôt qu’il y a 5 ans. Mais alors, que signifie réellement ce “jour du dépassement” et comment pouvons-nous reculer cette date ? Réponse dans cet article.
Le jour du dépassement correspond à une date à laquelle notre planète ne peut plus générer de ressources. En bref, c’est lorsque les humains ont utilisé toutes les ressources que peut produire la planète en une année. Cette date est calculée en fonction de deux indicateurs spécifiques qui sont :
En 2021, notre planète était dans le rouge car c’est dès le 29 juillet que les humains ont utilisé toutes les ressources qu’elle peut fournir. Cela implique que les humains devront vivre la moitié de l’année en déficit planétaire.
“En 2021, nous utilisions 74% de plus que les écosystèmes de la planète peuvent régénérer, soit l'équivalent des ressources que produirait 1,7 Terre.” selon WWF.
La courbe de ces planètes ne cessent d’accroître. En 2020, cette date à reculer de 3 semaines en raison de la crise du covid. Malheureusement, cela n’a pas duré car comme indiqué précédemment ce jour est redevenu le 29 juillet en 2021. C’est l’ONG Global Footprint Network qui chaque année calcule ce jour au niveau mondial ainsi qu’au niveau national.
Aujourd’hui chaque pays n’obtient pas la même date car ils ne possèdent pas les mêmes facteurs, comme leur empreinte carbone. Le Qatar est le pays avec un jour de dépassement le plus tôt, tombant le 10 février cette année. En revanche, le pays avec une date la plus loin possible dans l’année est la Jamaïque le 20 décembre.
Le 5 mai 2022, c’est le jour du dépassement pour la France. Et oui, ce jour est atteint 3 mois avant le jour du dépassement mondial de l’année dernière et seulement 4 mois après le début de l’année. Si tous les pays possédaient ce même jour du dépassement, il faudrait alors 3 planètes pour subvenir à tous les besoins, selon WWF. La France va vivre à crédit pendant 7 mois.
En comparant à l’international, la France se situe dans les mauvais élèves car elle se situe bien avant la date mondiale du jour du dépassement, qui est le 29 juillet.
Le WWF accuse la France sur certains points comme la surpêche ou encore la déforestation.
WWF annonce différents plans d’actions afin de repousser cette date le plus possible. Selon eux, il serait possible, pour la France, de faire diminuer de 25 jours cette date d’ici 2027.
Toujours selon la WWF, il est possible de faire reculer le jour du Dépassement en protégeant les forêts. Nos émissions de gaz à effet de serre étant trop importantes, nos forêts ne peuvent plus jouer leur rôle de puits de carbone, rôle indispensable pour la captation de ces gaz à effets de serre.
De plus, un autre axe essentiel à cette réduction est l’arrêt de la destruction des écosystèmes.
Tous les acteurs ont un rôle à jouer pour faire reculer ce jour du dépassement, aussi bien les entreprises avec le devoir de vigilance, que les consommateurs, dans leurs choix, entre autres.
Pour agir concrètement et au quotidien, il est utile de se sensibiliser et de se former pour comprendre les enjeux majeurs de la modification de nos habitudes. Quelques ateliers sont particulièrement pertinents, tels que la Fresque du Climat, la Fresque du Numérique, ou encore l’Atelier 2Tonnes.
Si vous souhaitez vous sensibiliser à ce sujet, vous pouvez nous contacter.
Le terme d’ESS - Economie Sociale et Solidaire - revient de plus en plus fréquemment dans les discussions. Cependant, ce terme peut parfois paraître complexe et pas vraiment compréhensible. Explications.
Selon le site du gouvernement, l’Economie Sociale et Solidaire “désigne un ensemble d’entreprises organisées sous forme de coopératives, de mutuelles, associations ou fondations, dont le fonctionnement interne et les activités sont fondés sur un principe de solidarité et d’utilité sociale.”
Alors concrètement, on considère structure de l’ESS une structure économique qui repose sur les principes de la solidarité, de l’équité et de l’utilité sociale.
L’ESS est constituée de 5 principes et valeurs fondamentales :
Le RTE, Revenu de Transition Ecologique, n’est pas un revenu de base inconditionnel, “le revenu de transition écologique (RTE) est un dispositif visant à verser un revenu à des personnes physiques, en contrepartie d’activités orientées vers l’écologie et le lien social”. Il s’agit d’un revenu monétaire conditionné à une activité à impact écologique et social. Au-delà du revenu monétaire, le RTE propose un volet d’accompagnement et de formation, ainsi que l’opportunité de bénéficier d’un réseau, d’une mutualisation et donc se rapprocher d’une structure démocratique.
Ce dispositif a été créé pour permettre aux porteurs et porteuses de projets de pouvoir aller au bout de leurs innovations et de pouvoir en vivre correctement.
Cette vidéo très complète de Zoein, avec Sophie Swaton, explique on ne peut mieux le dispositif RTE.
L’expression “économie sociale et solidaire” paraît presque évidente désormais, cependant, les deux termes n’ont pas toujours été associés.
En effet, pour comprendre l’évolution de ces deux termes, il faut remonter jusqu’aux années 80, où une montée du chômage, des inégalités et de la précarité touche des populations qui semblaient préservées auparavant.
Certains théoriciens vont, dans le même temps, critiquer la dérive bureaucratique de certaines coopératives et faire apparaître le terme d’économie solidaire, pour, selon eux, renouer avec les mouvements de base, fondés par l’associatif.
Les coopératives étant à cette époque plutôt dans l’économie sociale, une rivalité entre économie sociale et économie solidaire va émerger et durer jusque dans les années 90, où la fusion entre les deux termes va se faire.
L’arrivée des “entrepreneurs sociaux” aux États-Unis dans les années 90 va renforcer la fusion entre ces deux termes, représentant un ennemi commun. Certains y voient le cheval de Troie du capitalisme, puisqu’ils se qualifient eux-mêmes comme “sociaux”, mais d’après une définition radicalement différente.
Avec le temps, l'économie sociale et solidaire va se renforcer davantage autour de valeurs, de principes et de lois qui permettront davantage de liberté.
Il y a 5 éléments qui font le lien entre l’ESS et la transition écologique :
Ainsi, l'ESS représente un levier non négligeable de la transition écologique et solidaire, puisqu'il touche, entre autres, à tout un aspect social et sociétal de nos modes de vie.
Si vous souhaitez obtenir davantage d'informations, n'hésitez pas à nous contacter.
Après plusieurs mois de travail, et de nombreux rendez-vous et ateliers, l’entreprise A-Brunet Paysage a récemment obtenu la certification ECOCERT 26000, au niveau “excellence”.
A-Brunet Paysage est une TPE de 19 personnes spécialisée dans l’aménagement et la création de jardins, située à Poitiers. A sa tête, Stéphane Cothet, a été le moteur de la démarche RSE qui a été mise en place, accompagné de Valérie Petreau, Quentin et plusieurs autres collaborateurs.
La démarche RSE de A-Brunet Paysage a évolué au cours de l’année 2021, grâce à l’intervention de Rupture Engagée. Une véritable envie de s’engager dans ces projets a été l’élément clé de succès de cette démarche, qui nécessite une véritable implication. A la suite de ces quelques mois de collaboration avec Rupture Engagée, l’entreprise A-Brunet Paysage souhaitait tenter d’obtenir la certification ECOCERT 26000 et, en plus d’obtenir un score très élevé, ils ont obtenu le statut “excellence”, preuve de leur engagement réel et de leur travail, surtout pour une entreprise de seulement 19 collaborateurs.
Nous félicitons à nouveau toute l’équipe de A-Brunet Paysage pour leur travail et cette reconnaissance amplement méritée.
À l’occasion de l’anniversaire de Rupture Engagée en tant qu’associés Time for the Planet, voici une courte présentation de cette société à but non lucratif.
Time for the Planet est une entreprise à but non lucratif, qui a pour objectif de lever 1 milliard d’euros de fonds afin de financer 100 entreprises innovantes dans le secteur de la transition écologique. “Les solutions [...] existent déjà. Mais elles ne sont presque jamais déployées.”
Ainsi, tous - citoyens, entreprises, associations - peuvent acheter des actions dans l’entreprise et ainsi financer des projets prometteurs.
Ces projets sont par ailleurs proposés en open source, c’est-à-dire que toutes les informations relatives à l’innovation ou l’entreprise créée sont disponibles pour toute autre entreprise, afin qu’elle s’en inspire ou copie complètement l’idée. Les innovations peuvent ainsi se diffuser plus vite. On ne parle plus de concurrence mais de coopération.
Chaque action de Time for the Planet coûte 1€, et chacun peut acheter autant d’actions qu’il le souhaite. Ainsi, depuis sa création en 2019, plus de 7 millions d’euros ont déjà été récoltés.
De nombreux projets sont développés par Time for the Planet, ils sont tous en lien avec la réduction des gaz à effet de serre. Pour le moment, trois innovations ont été financées :
Il y a également d’autres projets qui ont été évalués par Time for the Planet et qui sont en attente de financement ou de validation, notamment BiomiTech, qui propose de capter et transformer le CO2 de l’air et des industriels en O2 grâce à des microalgues spécifiques, ou encore Aredox qui propose une solution de stockage massif de l’électricité renouvelable. Il existe ainsi presque un millier d’innovations low-tech, high-tech ou sans technologie qui attendent des validations puis un financement.
Alors si vous aussi vous voulez agir pour ces innovations, vous pouvez devenir actionnaires en vous rendant directement sur le site de Time for the Planet.
Et si vous désirez mettre en œuvre une démarche RSE complète, vous pouvez vous rendre sur notre site et nous contacter.
Afin de garantir de bonnes relations professionnelles entre l’équipe de Rupture Engagée et ses clients, voici la nouvelle charte des bonnes relations professionnelles.
Il est parfois utile de poser des bases solides pour des relations professionnelles détendues. Le fait de faire signer une charte implique pour les deux signataires un commun accord sur la manière dont ils désirent travailler. Il est important pour Rupture Engagée d’être sur la même longueur d’onde que ses clients, afin d’obtenir des résultats encore plus probants, suite aux formations et accompagnements.
Donc, même si une charte n’engage légalement à rien, elle engage moralement chaque signataire et permet à chacun de travailler sereinement.
Pour découvrir notre site internet et nos autres chartes, cliquez juste ici !
La loi Climat et résilience, promulguée en août 2021, contient 305 articles sur le sujet de l’environnement et implique des avancées sur de nombreux points. De plus, les TPE/PME sont également concernées par ces mesures, puisqu'elles constituent 99% du tissu des entreprises de France. Voici ce qu’il faut retenir de cette loi et comment cela impacte les TPE/PME.
Voici quelques mesures clés qui ont été adoptées dans la loi Climat et résilience, ces informations sont disponibles sur le site officiel du ministère de l’écologie.
Les logements :
La pollution urbaine :
Les déplacements :
L’alimentation :
L’information :
La publicité :
Les emballages :
Les sols :
Les énergies renouvelables :
La protection juridique de l’environnement :
Ces décisions couvrent donc différents aspects qui peuvent affecter le climat, et qu’il est important de traiter en prenant des mesures, notamment via la loi Climat et résilience
Quelques articles concernant ces mesures ont une entrée en vigueur immédiate, tels que l’encadrement des écrans publicitaires et vitrines par les maires, le renforcement des sanctions pour les atteintes au droit de l’environnement ou encore la fin des centres commerciaux sur des territoires naturels ou agricoles.
D’autres arrivent aussi dès 2022, comme la fin du chauffage en terrasses, la fermeture des lignes aériennes qui ont une alternative en train de moins de 2h30 et le gel des loyers des passoires thermiques, entre autres.
Selon l’activité de l’entreprise, certains PME ont des obligations supplémentaires, telles que :
Au niveau des dispositifs disponibles pour les entreprises, le dispositif Tremplin est ouvert jusqu’à la fin de l’année. De plus, le dispositif Décarbon’Action, permettant d’accompagner les entreprises dans la mesure de leurs émissions de gaz à effet de serre, la définition d’un plan d’action, sa mise en œuvre, et sa valorisation, vient compléter le Diag Ecoflux.
L’avantage pour les PME lorsqu’elles doivent fournir des documents et informations officielles, est qu’elles en possèdent déjà une partie puisqu’elles sont soumises à des obligations environnementales et possèdent déjà beaucoup d’informations, tels que le plan mobilité, le bilan carbone, l’audit énergétique, ou encore la gestion de papiers de bureau.
Si vous avez des questions ou si vous souhaitez mettre en oeuvre une stratégie RSE, vous pouvez nous contacter en cliquant ici.