Afin de garantir de bonnes relations professionnelles entre l’équipe de Rupture Engagée et ses clients, voici la nouvelle charte des bonnes relations professionnelles.

Pourquoi faire une charte ?

Il est parfois utile de poser des bases solides pour des relations professionnelles détendues. Le fait de faire signer une charte implique pour les deux signataires un commun accord sur la manière dont ils désirent travailler. Il est important pour Rupture Engagée d’être sur la même longueur d’onde que ses clients, afin d’obtenir des résultats encore plus probants, suite aux formations et accompagnements. 

Donc, même si une charte n’engage légalement à rien, elle engage moralement chaque signataire et permet à chacun de travailler sereinement.

Découvrir la charte

Pour découvrir notre site internet et nos autres chartes, cliquez juste ici !

Parfois involontairement et d'autres volontairement, les entreprises utilisent, à tort, des termes qui valorisent leurs démarches, notamment environnementales. Certains termes sont employés tellement régulièrement qu’ils font désormais presque partie du paysage. Voici les erreurs à ne pas commettre en RSE : quelques phrases et pratiques dont il faut se méfier, pour ne pas tomber dans le greenwashing.

Faire de la RSE pour l’image ou pire, penser qu’on se débrouillera bien sans démarche RSE

Le premier piège dans lequel une entreprise peut tomber est évidemment le fait de penser qu’elle n’aura pas besoin de RSE, surtout à l’époque actuelle, où elle est primordiale puisque de plus en plus de clients demandent des évolutions sur les sujets environnementaux et sociaux.

Il ne faut également pas décider de faire de la RSE juste pour l’image, car cela se ressentira, que ce soit dans la structuration de la démarche, dans sa communication ou encore dans le cadre d’une éventuelle évaluation pour un label ou une certification officielle. Cela pourrait, en plus, avoir l'effet inverse sur l'image de l'entreprise et la crédibilité de sa communication.

Il est très important pour l’entreprise de comprendre l’intérêt de la démarche RSE et d’engager une stratégie sincère et complète, afin de ne pas faire d'erreurs en RSE.

Neutralité carbone

La neutralité carbone, qu’on appelle aussi “net zéro”, “zéro émissions nettes” ou encore “carbone négatif”, signifie strictement le fait de ne pas émettre plus de gaz à effet de serre que ce que l’entreprise ne peut absorber. Cependant, l’utilisation de ce terme représente souvent un objectif flou, notamment sur les émissions elles-mêmes : l’entreprise parle-t-elle seulement du CO2 ou de tous les gaz à effet de serre ? 

Ne prendre en compte que le CO2 ne représente pas du tout le même objectif que regarder l'ensemble des gaz à effet de serre.

Le périmètre d’évaluation est également flou, l’entreprise peut décider de regarder en surface seulement ou de faire une évaluation en profondeur avec les consommations de chaque individu, ce qui permet à certaines entreprises de prétendre être neutres en carbone sans vraiment l’être, en réalité.

De plus, le terme “neutralité carbone”, ne signifie pas une réduction totale des émissions, mais plutôt une compensation. Cela incite donc à simplement compenser ses émissions, tandis que l’idéal serait de les réduire drastiquement.

Un bon cas pratique de "neutralité carbone", expliqué par le compte LinkedIn Pour un réveil écologique

Planter des arbres

Justement, un des moyens “à la mode” de compensation de ses émissions de carbone est la plantation d’arbres. Or, pour compenser entièrement nos émissions, soit, actuellement, 55 milliards de tonnes de CO2 par an, dont 40 à 45 milliards de que ce qui peut être absorbé naturellement, il faudrait planter 1500 milliards d’arbres. Une telle plantation correspondrait à une surface de plus ou moins 1 milliard d’hectares de forêt à planter. Cela est donc difficilement réalisable, voire même imaginable. Surtout lorsque l’on sait que le CO2 n’est pas stocké tout de suite, lorsqu’un arbre est planté, il faut attendre que les arbres soient adultes pour qu’ils puissent absorber assez de CO2. Cependant, nos émissions, elles, sont bien présentes dans l’atmosphère et n’ont pas un délai de 20 à 30 ans devant elle pour attendre d’être absorbées. Encore une fois, la plantation d'arbres incite à compenser au lieu de réduire, ce qui pose encore une fois le même problème. 

Certaines marques profitent donc également de cela pour se redonner de belles images.

De plus, si le monde entier décidait de respecter l'Accord de Paris, il serait tout de même quasiment impossible d'arriver à absorber toutes nos émissions de gaz à effet de serre, puisqu'il faudrait planter l'équivalent d'un quart des terres agricoles actuellement utilisées et de nombreux écosystèmes naturels. Les bénéfices que ces actions rapporteraient seraient donc insignifiants comparés aux conséquences négatives qui en découleraient. 

Donc planter des arbres peut être un bon moyen de compenser une partie des émissions, dans la mesure où la plantation est faite de manière réfléchie et professionnelle, mais elle doit toujours accompagner un vrai plan d'action de réduction des émissions de gaz à effet de serre et de réduction de la pollution globale.

Visuel créé par Pour un réveil écologique

"100% de déchets recyclés"

Cela dépend évidemment des secteurs d’activités, mais il existe de nombreuses entreprises où tous les déchets ne peuvent être recyclés, comme par exemple les déchets souillés avec de la peinture ou de l’huile. De plus, lorsque les déchets sont recyclables, ils ne sont parfois pas recyclés, principalement pour des causes financières et de rentabilité, et globalement, environ 70% des déchets plastiques sont enfouis ou incinérés. Également, lors du recyclage, il y a toujours une perte, or les chiffres donnés sont calculés sur les bases de collecte et non sur les tonnes de déchets recyclés.

De plus, beaucoup de déchets partent effectivement au recyclage, mais dans des pays étrangers, ce qui implique encore des émissions de CO2 supplémentaires. 

Il existe aussi des pays comme les Etats-Unis qui n’ont pas assez d’infrastructures de recyclage par rapport à la quantité de déchets produits, ils sont donc obligés d’incinérer ou d’enfouir leurs déchets. 

En ce qui concerne les déchets électroniques, l’Europe les exporte à 80% vers les pays d’Afrique, ce qui provoque la création de décharges à ciel ouvert. C’est également le cas pour les voitures.

Les labels

Il est également important de ne pas se perdre dans les nombreux labels qui existent sur le marché de l’environnement et de la RSE. Avec l’engouement du bio et des produits naturels et respectueux de l’environnement, de nombreuses entreprises ont compris que prendre cette direction ne pouvait être que bénéfique. Certaines se sont donc tournées vers des labels, parfois peu contraignants et donc peu significatifs. Cependant, il est souvent difficile pour le consommateur de faire la différence entre différents labels qu’ils ne connaissent pas. 

Pour être sûr de ne pas se tromper, le meilleur moyen est de se renseigner sur ces labels, notamment via le site de l’ademe, qui propose la liste des labels environnementaux fiables, pour ne plus tomber dans le piège des faux labels.

Vous pouvez aussi retrouver notre article qui compare les différents labels RSE du marché.

Le rapport RSE

Le rapport RSE est un excellent outil pour présenter en détail et dans un même document toutes ses bonnes actions dans la Responsabilité Sociétale des Entreprises. En revanche, il faut faire la distinction entre un rapport RSE complet et reflet de la réalité et un rapport RSE qui ne contient pas réellement d’informations concrètes. Un rapport RSE ne traduit pas forcément d’une bonne démarche RSE, il s’agit en premier lieu d’un outil de communication. Il faut donc faire attention au contenu du rapport RSE, pour se faire une idée de la démarche qui est réellement derrière.

3 pistes pour identifier un rapport RSE crédible :

Les pratiques connues de greenwashing

Pour terminer, il est important, lors de la réflexion d’une publicité environnementale, de se demander si la publicité en question est un reflet de la réalité ou si elle améliore la réalité, pour donner une meilleure image environnementale à l’entreprise. Si la publicité n’est pas une réelle photographie de la réalité, l’entreprise arrive dans ce cas à du Greenwashing.

Carbo a fait une liste d’exemples de greenwashing flagrants :

Il est donc primordial, en tant qu’entreprise, de faire attention à n’utiliser que des termes justes, qui sont le réel reflet de la réalité, lors de publicités ou de communications. Il est important de ne pas induire le consommateur en erreur et de ne pas tomber dans du greenwashing, qui est aussi puni par la loi. 

Si vous souhaitez plus d'informations, n'hésitez pas à nous contacter en cliquant ici.

Et si vous désirez mettre en place une démarche RSE concrète et sincère, c'est ici que ça se passe.

Depuis quelque temps, le terme “entreprise à mission” revient très souvent dans les médias. Mais que veut dire, concrètement, cette expression, rencontrée de plus en plus fréquemment ? Réponse dans cet article.

Définition d’une entreprise à mission

Sur le site du gouvernement, la définition d’une entreprise à mission est la suivante : 

“La loi Pacte introduit la qualité de société à mission permettant à une entreprise de déclarer sa raison d'être à travers plusieurs objectifs sociaux et environnementaux.”

Concrètement, cela veut dire que l’entreprise, qu’elle soit en cours de création ou déjà existante, change son statut afin de se donner une finalité d’ordre social ou environnemental, une “mission” d’ordre public qui vient s’ajouter à son aspect économique. 

Le concept d’entreprise à mission a été défini juridiquement en 2019 avec la loi PACTE. La notion d’entreprise à mission est associée aux termes de “raison d’être” et “d’intérêt social”, cela concerne donc l’essence même de l’entreprise. 

Une entreprise peut tirer différents intérêts en devenant une entreprise à mission. Bpi France en a fait une liste non-exhaustive :

Qui peut devenir entreprise à mission ?

Toutes les entreprises, peu importe leur taille, peuvent devenir des entreprises à mission. La seule condition pour le devenir repose sur différents critères définis par le Code du Commerce - Art. L210-10 à L210-12 - qui doivent être respectés. 

Bpi France a reformulé les critères plus simplement :  

De plus en plus d’entreprises souhaitent devenir des entreprises à mission, même si cela implique de nombreux contrôles et une véritable envie d’agir pour le bien environnemental et/ou social. Certaines grandes entreprises bien connues du grand public sont même devenues entreprises à mission. Nous pouvons citer Aigle, Boursorama, Danone ou encore La Poste, entre autres. 

Si vous souhaitez obtenir davantage d’informations sur les entreprises à mission, n’hésitez pas à nous contacter.

La loi Climat et résilience, promulguée en août 2021, contient 305 articles sur le sujet de l’environnement et implique des avancées sur de nombreux points. De plus, les TPE/PME sont également concernées par ces mesures, puisqu'elles constituent 99% du tissu des entreprises de France. Voici ce qu’il faut retenir de cette loi et comment cela impacte les TPE/PME.

Ce qui va être mis en place, concrètement, avec la loi Climat et résilience. 

Voici quelques mesures clés qui ont été adoptées dans la loi Climat et résilience, ces informations sont disponibles sur le site officiel du ministère de l’écologie.

Les logements :

La pollution urbaine :

Les déplacements : 

L’alimentation : 

L’information :

La publicité :

Les emballages :

Les sols :

Les énergies renouvelables :

La protection juridique de l’environnement : 

Ces décisions couvrent donc différents aspects qui peuvent affecter le climat, et qu’il est important de traiter en prenant des mesures, notamment via la loi Climat et résilience

Quelques articles concernant ces mesures ont une entrée en vigueur immédiate, tels que l’encadrement des écrans publicitaires et vitrines par les maires, le renforcement des sanctions pour les atteintes au droit de l’environnement ou encore la fin des centres commerciaux sur des territoires naturels ou agricoles. 

D’autres arrivent aussi dès 2022, comme la fin du chauffage en terrasses, la fermeture des lignes aériennes qui ont une alternative en train de moins de 2h30 et le gel des loyers des passoires thermiques, entre autres. 

Ce que cela implique pour les TPE/PME

Selon l’activité de l’entreprise, certains PME ont des obligations supplémentaires, telles que :

Au niveau des dispositifs disponibles pour les entreprises, le dispositif Tremplin est ouvert jusqu’à la fin de l’année. De plus, le dispositif Décarbon’Action, permettant d’accompagner les entreprises dans la mesure de leurs émissions de gaz à effet de serre, la définition d’un plan d’action, sa mise en œuvre, et sa valorisation, vient compléter le Diag Ecoflux. 

L’avantage pour les PME lorsqu’elles doivent fournir des documents et informations officielles, est qu’elles en possèdent déjà une partie puisqu’elles sont soumises à des obligations environnementales et possèdent déjà beaucoup d’informations, tels que le plan mobilité, le bilan carbone, l’audit énergétique, ou encore la gestion de papiers de bureau.

Si vous avez des questions ou si vous souhaitez mettre en oeuvre une stratégie RSE, vous pouvez nous contacter en cliquant ici.

Publié le 14/05/21

Pour mettre en place sa démarche RSE de façon sereine, vous pouvez suivre notre accompagnement. Nous offrons la possibilité d'obtenir les outils, les méthodes et les connaissances afin de mettre en place une démarche RSE efficace et rentable !

La bonne nouvelle, c'est que certaines prestations de Rupture Engagée peuvent être subventionnées par l'ADEME, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, qui vous accompagne dans votre transition écologique.

Subventions ADEME : des aides non négligeables

Actuellement, les TPE et les PME peuvent être soutenues par l'ADEME pour être accompagnées dans leur transition écologique. L'ADEME met en place depuis 2021 son guichet de subventions ADEME nommé "Tremplin pour la transition écologique des PME". Ce guichet consiste à aider les entreprises à prendre le tournant de la transition écologique et ce grâce à des procédures simplifiées et des montants forfaitaires alloués. Ce programme s'inscrit dans le cadre de France Relance, et s'adressent à tous les domaines de la transition écologique ! 

subventions ADEME

Comme le précise les subventions ADEME, l’aide est destinée à toutes les TPE et PME, quelle que soit leur forme juridique (SAS, SCOP, association loi 1901…). En revanche, les micro-entrepreneurs ne sont pas éligibles.

Les informations essentielles

Dans le cadres des subventions ADEME, un ou plusieurs investissements / études sont éligibles et jusqu’ à 80% du montant total des investissements. Pour bénéficier de ces subventions ADEME, la TPE ou PME doit être installée en France et le coût total de l'opération doit être supérieure au montant total de l'aide proposée par l'ADEME.

Pour ce qui est de l'inscription, tout se fait en ligne ! Il faut renseigner le fichier « ADEME Tremplin transition écologique », pour connaître les aides auxquelles vous pourrez prétendre. Ensuite, il vous suffit de faire votre choix parmi les aides proposées sachant que l’ADEME ne soutiendra pas d’entreprises via ce dispositif, pour lesquelles le montant de  l’aide totale serait inférieur à 5 000 € ou supérieur à 200 000 €.

Par exemple, pour le bilan carbone : Ils sont financés à hauteur de 5000€ ! Réaliser un bilan carbone présente de nombreux avantages, et l'investissement financier n'est plus en frein grâce à cette subvention.

Voici d'autres exemples d'actions prises en charge : 
Investissements : isolation, relamping, production de chaleur, froid commercial, énergie renouvelable, presse à déchets, véhicule électrique et vélo cargo électrique…
Etudes : écoconception, affichage environnemental, bilan carbone…

Attention, il faut noter que ces subventions ADEME sont disponibles jusqu’à épuisement de l’enveloppe, alors ne tardez pas ! 

Pour aller plus loin

Retrouvez la brochure de notre partenaire No²W expliquant ce dispositif de subventions ADEME, avec un focus sur le bilan carbone :

Et pour en savoir plus sur le Tremplin proposé par l'ADEME, vous pouvez consultez les liens suivants :

Rupture Engagée peut vous accompagner sur un ou plusieurs de ces projets, n'hésitez pas à revenir vers nous et à nous contacter à l'adresse suivante : marion@ruptureengagee.com

Publié le 24/04/21

Les labels RSE sont multiples et il n'est pas toujours chose aisée que d'obtenir des informations transparentes et précises sur ces différentes démarches. C'est pourquoi, nous vous exposons les différents labels RSE existants, où vous retrouverez les points clés à connaître sur chacun d'entres eux afin de vous permettre de comparer les principaux labels RSE du marché !

Qu'est ce qu'un label RSE ?

Les labels RSE font parties de la famille des labels qui correspondent à des étiquettes que l'on appose sur des produits ou services (ou marque) afin de les faire se distinguer des autres produits, services, marques de la même catégorie. Les labels fonctionnent par systèmes de certification. Ils comportent plusieurs avantages et notamment celui de crédibiliser sa démarche RSE, de la valoriser. Les labels RSE sont des outils permettant une amélioration continue des pratiques RSE au sein de l'entreprise, ils entretiennent la démarche des entreprises mais ils sont un moyen plutôt qu'une fin. Bien que la labellisation soit valorisante, il est important de garder en tête que les actions et la structuration de sa démarche RSE doit toujours précéder la labellisation. In fine, un label RSE ne doit pas être votre unique objectif ! Cela doit être la "récompense", après avoir mis en place une démarche RSE structurée, formalisée, et communiquée en interne et en externe.

Avant d'obtenir le permis, il faut apprendre à conduire, n'est-ce-pas ?

Notre comparatif des labels RSE

La certification B corp France

Le premier des cinq labels RSE que nous mettons en lumière est un label né aux États-Unis en 2006 : la certification B Corp certification. Près de 4 000 entreprises sont labellisées dans le monde et 137 en France. Ce label RSE propose une certification en quatre étapes :

  1. Auto-évaluation en ligne
  2. Audit par les analystes du B lap
  3. Signature de la charte et de la Déclaration d'interdépendance de la B corp
  4. Modification des statuts juridique de votre entreprise

Ce label RSE propose également une plateforme en ligne accessible à tout les labellisés : B Hive.

Le label LUCIE26000

Créé en 2007, en France, le label LUCIE compte 800 membres et s'adresse aux entreprises souhaitant valoriser leur plan d'action de leur démarche RSE. Il repose notamment sur la norme ISO26000. La certification se fait en cinq étapes :

  1. Formation LUCIE 260000 (2 jours)
  2. Auto-évaluation en ligne
  3. Evaluation et recommandations par un expert sur site
  4. Prise d'engagements pour développer votre démarche RSE
  5. Un comité de labellisation constitué d'experts indépendants statue

L'évaluation Ecovadis

L'évaluation Ecovadis est née en France en 2007. Les notations Ecovadis concernent plus de 75 000 membres dans le monde. Cette certification n'a pas pour finalité de décerner un label à proprement parler mais de décerner une note globale de performance RSE. Le processus est en trois étapes :

  1. Questionnaire personnalisé sur 4 thèmes : social, environnement, éthique et achat responsable
  2. Analyses des réponses par des analystes RSE Ecovadis
  3. Publication de la fiche d'évaluation et intégration à la communauté

D'autres labels RSE sont à découvrir, nous vous développons deux autres labels RSE à savoir le label RSE Afnor et le label RSE Positive Workplace en détails dans notre illustration dédiée aux différents labels RSE.

Pour aller plus loin, et découvrir les coûts de ces labellisations, leurs particularités, et notre avis sur chacune d'entres elles, téléchargez notre illustration descriptive de chaque label RSE :

Labels RSE
Les-differents-labels-RSETélécharger



Evidemment, il en existe d'autres, notamment des labels RSE sectoriels. Si besoin, vous pouvez revenir vers nous afin que l'on vous aide à comprendre leur fonctionnement.

Rupture Engagée vous accompagne dans l'obtention de votre label RSE

Ces trois labels RSE exposés précédemment sont les labels les plus valorisants pour votre démarche RSE. Rupture Engagée peut vous accompagner sur le Label LUCIE, qui conviendra très bien aux PME qui souhaitent structurer leur démarche RSE et s'engager dans une démarche de progrès. Notre accompagnement peut aussi se tourner vers le label RSE B Corp France, qui bénéficie d'une belle reconnaissance internationale ! Nous pouvons également vous aider dans votre évaluation EcoVadis, qui n'est pas vraiment un label RSE, mais qui est une démarche d'évaluation très poussée et reconnue.

Initier dès maintenant votre démarche RSE à nos côtés ! Contactez-nous juste ici pour obtenir nos conseils et vous orienter vers le label RSE le plus adapté à vos besoins !

Publié le 05/03/21

Ce n'est plus un secret, la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) présente de nombreux avantages. Il y a encore quelques années, la RSE était perçue comme une contrainte, qui prenait du temps, de l'argent, sans jamais en rapporter. Ces dernières années ont permis de déconstruire les idées reçues : La RSE est une démarche rentable y compris pour les toutes petites structures. 

Pourquoi les TPE doivent-elles faire de la RSE ?

Faire de la RSE est une stratégie d'entreprise rentable, qui devient petit à petit la nouvelle norme. Si les grands groupes s'y sont mis il y a une dizaine d'années, à cause de pressions de la part des consommateurs ou des réglementations, les plus petites structures peuvent aussi mettre en place ce type de démarche. 

La RSE chez les TPE

En effet, la RSE concerne les entreprises de toutes tailles, tous secteurs, et tous niveaux. Et cela peut être un véritable levier de performance pour les TPE : Fédérer et fidéliser ses collaborateurs, se différencier et gagner de nouveaux clients, booster sa marque employeur, faire des économies concrètes, contribuer à la résolution des problématiques sociales et environnementales actuelles ... La RSE chez les TPE c'est possible, elle a toute sa place chez les petites structures de moins de 20 salariés. 

Les challenges RSE des TPE

A la différence des plus grandes structures, la RSE chez les TPE n'est pas obligatoire. Les TPE n'ont pas d'obligations légales de faire de la RSE. De ce fait, les ressources allouées à ces sujet sont souvent limitées : Si parfois on a la chance d'avoir un "référent RSE", qui est en charge de ces questions là en plus de sa fonction de base, il est très rare de retrouver une personne à 100% dédiée sur ce sujet. Les TPE sont alors face à 2 challenges

Les TPE passent donc à côté de tous les avantages liés à une démarche RSE, alors que cette stratégie serait facile à mettre en place, permettant rapidement d'obtenir une démarche RSE efficace et rentable. 

La RSE chez les TPE

Nous ne sommes jamais trop petits pour agir, et le ROI d'une démarche RSE n'est pas que réservé aux grandes entreprises. C'est ce que l'entreprise Rupture Engagée, société de conseil en RSE, prouve au quotidien, via l'accompagnement RSE qu'elle propose aux TPE. 

Comment les TPE peuvent-elles faire de la RSE ? L'accompagnement de Rupture Engagée !

Notre société de conseil RSE est spécialisée pour les petites structures. Notre fondatrice, Marion MARTINEZ, a longtemps travaillé pour le label LUCIE, et pour EcoVadis, et connaît ainsi les problématiques des petites structures, pour faire vivre leurs engagements et actions RSE. 

Retrouvez le "Pack d'accompagnement RSE" spécialement réfléchi pour les petites structures de moins de 15/20 personnes ici ! Ce pack comprend 3 étapes essentielles

Durant 3 à 4 mois, Rupture Engagée vous accompagne sur ces différentes étapes, notamment grâce à une formation sur la RSE et la norme ISO26000, un atelier de sensibilisation à destination de tous les collaborateurs, un accompagnement à l'auto-évaluation RSE, ainsi qu'à la rédaction du plan d'action, dans l'objectif final de mettre en place une démarche efficace et rentable. 

Une formation sur la communication RSE est aussi délivrée, afin de permettre aux TPE de valoriser leurs actions et engagements. Si besoin, les TPE peuvent aussi compléter ce pack avec des prestations "optionnelles", comme la rédaction d'un rapport RSE adapté à leur structure, ou la valorisation externe de leur démarche via une plateforme partenaire comme Zei. Notre cabinet de conseil RSE est d'ailleurs classé 3ème cabinet de conseil RSE le plus performant sur le plus environnemental.

"Cela prouve bien qu'il n'est pas nécessaire d'avoir beaucoup de moyens humains ou financiers pour être exemplaire. Ces engagements assurent notre crédibilité, et nous permettent de nous différencier d'autres cabinets RSE beaucoup moins engagés, ou qui comprennent moins bien les challenges RSE des toutes petites structures "

Marion MARTINEZ

Ensemble pour la structuration des démarches RSE chez les TPE !

La RSE est une démarche rentable, véritable levier de performance, qui devient indispensable à toute entreprise. Les TPE comme toute autre entreprise, sont concernées par ces enjeux, et peuvent obtenir de nombreux avantages et bénéfices en structurant, valorisant et animant leur démarche RSE. 


Rupture Engagée est spécialisée dans la RSE pour les petites structures. Alors si votre société fait moins de 20 salariés, et que vous souhaitez gagner du temps en construisant votre démarche RSE à nos côtés, contactez-nous : marion@ruptureengagee.com !

Nous prendrons le temps d'identifier vos besoins, afin de vous proposer un accompagnement personnalisé, correspondant à vos problématiques et challenges ! 

Pour structurer sa démarche RSE, il existe plusieurs cadres et référentiels dont la norme ISO26000 fait partie. Publiée en novembre 2010, elle a été promulguée par l’Organisation Internationale de Normalisation : l’ISO. Elle permet de définir clairement les notions de développement durable et responsabilité sociétale. L’ISO26000 est une norme d’organisations responsables qui contient un ensemble de lignes directrices. Elle permet ainsi aux entreprises de déployer une démarche RSE complète et ambitieuse.  

Norme ISO26000 : origines et définition

Une norme qui fait l'objet d'un consensus international

L’ISO26000 a été élaborée par une approche multi-parties prenantes avec la participation d’experts de plus de 99 pays et de 42 organisations internationales couvrant divers aspects de la responsabilité sociétale. Ces experts étaient tous issus de groupes différents : consommateurs, pouvoirs publics, industrie, travailleurs, ONG… permettant de répondre au maximum aux besoins et souhaits de chacun en termes de démarche RSE. C’est après cinq années de négociation que le texte dépeignant la norme ISO26000 est adopté en septembre 2010 avec 93% des voix des pays participants (5 votes contre, dont l’Inde et les USA). On parle ainsi de consensus international.

Cette norme mettant en lumière la démarche RSE, est donc apparue en France le 1er novembre 2010 et est appliquée dès le 13 novembre 2010. Elle s’applique ainsi à l’organisation dans son ensemble quelle que soit son activité, sa taille ou sa localisation. Elle instaure, d’une part, une réflexion stratégique autour de la démarche RSE. Et coordonne, d’autre part, la mise en œuvre d’actions cohérentes grâce à l’entretien de nombreux textes internationaux sur des problématiques liées à la démarche RSE (GRI, OCDE, Objectifs du DD…). 

Selon l’ISO 26000, la norme vise à promouvoir une compréhension commune dans le domaine de la responsabilité sociétale. Elle a pour objectifs d’accompagner les organisations dans l’application des notions de développement durable avec l’aide de plusieurs lignes directrices méthodiquement pensées pour agir sur l’ensemble des aspects de l’organisation. 

Une application volontaire et progressive

La norme ISO26000 propose ainsi des recommandations pour structurer sa démarche RSE, elle fait partie des normes non-certifiables. Pour rappel, il existe deux types de normes : les certifiables (qui représentent seulement 5% des normes), et les non-certifiables. Les normes certifiables telles l’ISO 9001 ou l’ISO 14001 sont accréditées par l’État et certifiées par un Organisme certificateur tel l’Afnor qui procède à une évaluation et un audit apportant ainsi son expertise professionnelle. Concrètement, alors qu’une norme certifiable donne des obligations, les normes non-certifiables donne des directions, ce qui se traduit textuellement par « il convient de » plutôt qu’« il faut que ». La norme ISO26000 apparait donc comme un guide modulable en fonction du cas de l’entreprise, on parle d’alignement et non de conformité. 

Par ailleurs, on observe qu'une démarche RSE n'est pas obligatoire pour les TPE/PME mais bien issue de volontariat, bien que d'après France Stratégie : "au plus on va pousser la règlementation, au plus cela va inciter les entreprises à prendre de bonnes initiatives en termes d'éthique et d'environnement."

Champs d’actions

La norme ISO26000 est l’idée que les entreprises, les organisations existent dans et par la société et qu’elles ont des comptes à lui rendre, qu’elles doivent être actrices à part entière du développement durable. Cette dernière permet de :

La norme ISO26000 permettant une démarche RSE efficace est composée de 7 questions centrales interdépendantes.

Les 7 questions centrales de la norme ISO26000

Il convient de mesurer les impacts qu’une organisation génère au regard de chaque question centrale que la norme ISO26000 cultive. Ces questions lui permettent de concrétiser la mise en place de la démarche RSE. Ce sont donc 7 questions qui sont investies et déclinées en 36 domaines d’actions.

Norme ISO 26000 RSE
  1. La gouvernance : c’est-à-dire la manière dont est organisée l’entreprise tant sur le plan décisionnel que sur le plan stratégique. La gouvernance facilite la mise en place de processus et structures promouvant l’utilisation des principes et pratiques de la Responsabilité Sociétale. En théorie « La gouvernance d'une organisation est le système par lequel une organisation prend des décisions et les applique en vue d'atteindre ses objectifs. »En pratique, la gouvernance de l'organisation est le facteur le plus important. Une gouvernance efficace doit intégrer les principes de la RSE dans les processus de décisions et de mise en œuvre. Elle est au cœur de multiples questionnements : comment l'entreprise a-t-elle identifié ses valeurs ? Comment la stratégie de l'organisation est-elle définie ? Quels indicateurs paraissent déterminants pour une gestion pérenne de l'organisation ?

    À privilégier pour une bonne pratique pour sa démarche RSE : Inscrire la RSE dans les documents de référence interne (Stratégie, accueil des salariés, fiches de poste..), établir une cartographie des risques : humains, économiques, environnementaux, ou aussi mettre en place un plan de communication avec les parties prenantes.


  2. Les droits de la personne : cette question, très détaillée dans l’ISO26000, s’attache à la prévention de la complicité aux droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels. Elle incite à ne prendre part ni activement, ni passivement aux violations des droits fondamentaux et en assurer le respect. Tout en analysant sa capacité à influencer ou encourager d’autres structures sur le respect des DH (sphère d’influence). Elle intègre la notion de vigilance ce qui est primordial : le devoir de vigilance passe « par l'identification des risques de non-respect des principes décrits par les droits de l'homme au sein de sa propre structure mais également au sein du territoire où elle exerce ses activités. » Elle pose question sur les droits fondamentaux de travail, la politique salariale et sa gestion, mais aussi sur les fournisseurs auxquels l’entreprise est liée et leurs pratiques des Droits de l’Homme. Elle fait s’interroger sur les modes de production, la main d'œuvre employée, le contexte social et/ou politique lieu de la production, les formes de discrimination et mettre en œuvre des moyens de remédier aux éventuelles atteintes.

    Quelques exemples à suivre : mettre en place une formation à la non-discrimination dans son entreprise, être signataire de la charte de la diversité ou encore préciser et communiquer les sanctions, internes à l’entreprise et légales en cas de harcèlement et de sexisme.


  3. Les relations et conditions de travail : ses domaines d’actions concernent le dialogue social, la santé et la sécurité au travail mais aussi le développement du capital humain. Elle conseille de mettre en œuvre des conditions de travail équitables et satisfaisantes pour ses salariés. De leur créer un environnement favorable à leur épanouissement (dialogue social, rémunérations justes et équitables, respect de leur intimité, employabilité…). Elle interroge les entreprises dans leur démarche RSE sur les questions types suivantes : Comment mon entreprise s'assure-t-elle que les conditions de travail sont conformes à la législation ? Quels moyens je mets en place pour motiver mon personnel ? Quelles actions sont menées dans mon entreprise pour répondre aux exigences d'hygiène, de sécurité et de santé ?

    Il convient pour y répondre de formaliser une politique de préventions des risques, d’écrire et diffuser une charte sur le droit à la déconnexion, de rédiger un guide d’accueil et de bonnes pratiques, ou d’aménager les horaires de travail (arriver plus tôt pour terminer plus tôt, ou à l’inverse plus tard).


  4. L’environnement : parce que chaque entreprise par son activité, sa localisation et sa structure, impacte l'environnement, cette question repose sur 4 points. La prévention de la pollution (émissions dans l’air, rejets dans l’eau, déchets…), l’utilisation durable de ressource (améliorer son efficacité énergétique, écoconception…), l’atténuation des changements climatiques (réduction des gaz à effet de serre), in fine la protection de l’environnement et de la biodiversité (utilisation des sols et des ressources naturelles de manière durable). Elle incite au respect et à la promotion des principes environnementaux, à travers une approche intégrée. À noter qu’aujourd’hui seulement 2% des entreprises intègrent la biodiversité dans leur politique environnementale.

    L’idée est donc de mettre en œuvre une évaluation de l’impact environnemental des actions, d’utiliser des produits éco labélisés, de réaliser une Analyse Cycle de Vie (ACV) ou même de former aux éco gestes et à l’éco conduite. 


  5. La loyauté des pratiques (éthique des affaires) : cette question s’attache à la lutte contre la corruption, la promotion de la Responsabilité Sociétale dans la chaîne de valeur (sensibilisation) au respect des droits de propriété (tant physique qu’intellectuel), à l’engagement politique responsable (transparence en termes de lobbying, interdire la désinformation…) et à la concurrence loyale. L’éthique concerne en effet les valeurs d’honnêteté, d’intégrité et d’équité, c’est pourquoi on s’intéresse à la sélection des fournisseurs, aux critères RSE dans la chaîne de sous-traitance, au choix de fournisseurs locaux et engagées... Ce qui pousse les organisations à se demander comment intégrer des critères RSE dans le cahier des charges et comment vérifier ces critères. 

    Pour y répondre, il est envisageable de mettre en place un suivi du délai de paiement par fournisseur, de sensibiliser les acheteurs aux achats responsables et de faire signer un guide de bonnes pratiques commerciales à l’ensemble des salariés, ou encore de favoriser des fournisseurs locaux.


  6. Questions relatives aux consommateurs : plusieurs domaines d’action lui sont consacrés comme la protection des données et de la vie privée des consommateurs, la consommation durable (surconsommation, respect des animaux…), l’accès aux services essentiels (eau, gaz, électricité…), l’éducation et la sensibilisation, le SAV, l’assistance et la résolution des litiges pour les consommateurs ( traitement des réclamations…) ou encore l’importance des pratiques loyales en matière de commercialisation, d’information et de contrats (pas de termes contractuels abusifs, des infos claires et vraies). Il est alors de mise de se questionner sur les risques liés à l’utilisation des produits de son entreprise ou encore sur les moyens mis en place pour le retour de produits défectueux par exemple.

    Il est possible de mettre place un dispositif de collecte et de mesure de la satisfaction des clients, de réaliser une enquête de satisfaction client, de mettre en place une F.A.Q ou de renforcer des partenariats auprès des territoires.


  7. L’ultime question en non des moindres concerne le développement local et l’intérêt général. Ses domaines d’action sont la santé, l’investissement dans la société, la création d’emplois et le développement de compétences, tout comme le développement des technologies et l’implication auprès des communautés. Il convient que l’organisation se considère comme faisant partie intégrante de la communauté (zone géo ou groupe de personnes partageant des caractéristiques particulières), la reconnaisse et envisage d’apporter son appui aux politiques publiques concernées. On peut se demander comment l'organisation s'implique dans des réponses aux enjeux portés par son territoire d'implication, ou encore comment l'entreprise contribue à la création de richesse sur son territoire.

    Peut être mis en œuvre : un comité de mécénat, un indicateur permettant de définir le pourcentage d’achats locaux, un partenariat avec une action solidaire associant les parties prenantes, travailler avec des ESAT...

La norme structurante des démarches RSE de Rupture Engagée

Si cette norme est si centrale pour Rupture Engagée c’est parce qu’elle rythme son fonctionnement. En effet, notre technique d’accompagnement pour la démarche RSE est basée sur la norme ISO26000. Cette norme comprend l'ensemble des champs d'action qui nous paraissent essentiels pour vous accompagner dans vos démarches RSE.

Démarche RSE

Cette démarche holistique est le référentiel le plus approprié à nos yeux pour penser et construire à vos côtés une démarche RSE solide et pérenne.

Nous vous conseillons grandement de mettre en place une démarche RSE en suivant les principes de cette norme, car c'est la norme RSE la plus complète, crédible, et facile à mettre en œuvre. Vous pouvez nous contacter à bonjour@ruptureengagee.com pour plus d'informations !

Publié le 3/01/21

Engager une démarche RSE pour son entreprise est sûrement l’une des meilleures décisions pour assurer sa longévité ! En effet, une telle démarche comporte de nombreux avantages car elle vise l’amélioration des performances, la réduction des coûts ou encore le développement de relations durables au sein de l’entreprise. Mais comment la mettre en place ? Par où commencer ? Comment réussir sa démarche RSE ? Aujourd'hui, on vous partage les facteurs clés de succès d'une démarche RSE efficace et rentable. 

Faire face aux blocages

Rupture Engagée a d’ores et déjà accompagné des dizaines d'entreprises, dont certaines qui, malgré leurs efforts, n'arrivaient pas à tirer profit de leur démarche RSE. C’est nécessairement frustrant de ne pas parvenir à obtenir les résultats souhaités lorsqu’on s’en donne les moyens et qu’on en a la volonté. Mais faire des efforts pour être plus engagé, l’investissement de ressources en accord avec ses valeurs peut être vain si la méthode employée n’est pas optimale. Réussir sa démarche RSE passe par l’information et l’accompagnement et c’est pourquoi nous vous délivrons nos conseils pour aller plus loin dans votre démarche RSE. Voici nos astuces clés pour réussir sa démarche RSE et lui permettre de vous être réellement favorable et rentable.

Réussir sa démarche RSE en suivant une méthode qui fonctionne !

Mettre en place une démarche RSE ne s'improvise pas, mais s’apprend. Loin d’être innée, la démarche RSE peut parfois sembler obscure à initier. Pas de panique, on vous soumet notre méthode efficace pour réussir sa démarche RSE !

Voici la méthode que nous utilisons, et que nous préconisons de suivre pour réussir sa démarche RSE dans son entreprise :

Travailler en équipe : le chemin vers la réussite !

Notre deuxième conseil pour réussir sa démarche RSE c’est de privilégier les rapports humains et ne jamais les sous estimer.

Réussir sa démarche RSE

Il faut savoir qu'une démarche RSE ne fonctionne pas sans l'impulsion du dirigeant. Réussir sa démarche RSE c’est être le moteur de cette démarche ! Mais elle ne fonctionne pas non plus sans l'implication des collaborateurs. En effet une démarche RSE doit être appliquée par l'ensemble des parties prenantes internes de l'entreprise pour fonctionner. C'est pourquoi le travail en équipe est de mise.

Enfin, on vous propose d'envisager le travail en équipe grâce à la norme ISO26000. Cette norme comprend 7 questions centrales : 7 thèmes différents tous plus importants les uns que les autres. Nous vous préconisons de former des groupes de travail volontaires sur chacune des questions centrales de la norme ISO26000 ! C'est une astuce simple et efficace pour mobiliser ses collaborateurs !

Faire vivre sa démarche RSE en faisant appel à l'expertise de Rupture Engagée !

Entretenir sa démarche RSE c’est l’optimiser ! Plusieurs choix sont possibles, comme on dit souvent, tous les chemins mènent à Rome, et bien pour les astuces qui suivent, c’est pareil ! Elles vous mèneront toutes à la réussite !

La première clé pour appliquer sa démarche est d’opter pour l’organisation d’un atelier d'intelligence collective ! C’est connu, on est toujours plus performant lorsque plusieurs cerveaux réfléchissent dans un but commun. On peut, ainsi, faire ressortir de très belles idées lors d'ateliers d'intelligence collective, c’est pourquoi il ne faut plus hésiter à se lancer ! Rupture Engagée vous propose son expertise pour trouver le moment idéal afin d’organiser ce type d’atelier dans votre entreprise, un atelier qui répondra à votre principal challenge du moment.

Former et sensibiliser ses collaborateurs à la RSE est un autre point essentiel pour réussir sa démarche RSE ! En effet, la formation et la sensibilisation permettent la bonne application d’une démarche RSE et le respect des enjeux de l’entreprise. Les parties prenantes doivent comprendre Qu’est-ce que la RSE pour pouvoir être impliquées dans cette démarche. Ces dernières seront ensuite les meilleurs ambassadeurs pour parler des engagements de votre entreprise

Enfin, mobiliser ses collaborateurs le temps d'une conférence inspirante est une manière efficace de les inciter à passer à l'action ! Cela peut être une conférence sur la RSE, ou sur la transition écologique. Pleins de choses peuvent être mises en place pour réussir sa démarche RSE grâce à l’expertise de Rupture Engagée. Alors, qu’attendons-nous pour en discuter ensemble ? 


Prenons un rendez-vous téléphonique sans plus tarder et faisons de votre démarche RSE une démarche pérenne, efficace et rentable !

Publié le 27/12/20

Initier une démarche RSE au sein de son entreprise comporte de nombreux avantages pour sa gouvernance et sa pérennité. Bien que ce type de démarche soit investie par beaucoup d’entreprises et notamment par les TPE et PME, peu d'entre elles développent des démarches RSE structurées et valorisées. En effet, d'après une étude de Bpifrance Le Lab, 50% des dirigeants de PME ont une véritable démarche RSE ! Mais uniquement 25% ont une démarche structurée avec un plan d'actions à court ou moyen terme. C’est pourquoi il est essentiel de connaître sans plus tarder les avantages d’une démarche RSE. Ça tombe bien, on vous dit tout dans cet article !

La RSE en quelques mots

Pour rappel, la Responsabilité Sociétale des Entreprises correspond à l’application du développement durable en entreprise et comprend diverses dimensions : sociales, environnementales, éthiques et économiques. La RSE est donc l’application volontaire de ses dimensions et enjeux dans la stratégie et les pratiques d’une entreprise. Cette dernière prend tout son sens lorsqu’on comprend ses fondements et que l’on prend connaissance de ses cadres et référentiels légaux. Les avantages d'une démarche RSE sont réels c'est pourquoi la RSE est plus que jamais, aujourd'hui, une démarche centrale à adopter pour les entreprises !

Structuration un jour, structuration toujours !

La structuration, c'est-à-dire le processus visant l’organisation, la configuration et l’articulation de procédés, est la clé pour engager son entreprise et ainsi découvrir les avantages d’une démarche RSE. Pour dégager ces fameux avantages d’une démarche RSE, vous l’aurez compris : il faut structurer ! Oui, mais pourquoi ?

Avantages d'une démarche RSE

Structurer sa démarche RSE est une étape indispensable pour :

- Mettre en place de véritables engagements

- Travailler sur tous les thèmes de la RSE

- Communiquer sur les actions RSE et les valoriser

- Être crédible auprès de ses parties prenantes

- Tirer profit des avantages d'une démarche RSE efficace et rentable.

Mais quels sont ces avantages d'une démarche RSE ?

8 avantages d’une démarche RSE

Les avantages d’une démarche RSE sont nombreux ... mais en voici quelques-uns pour y voir un peu plus clair :

Avantages d'une démarche RSE

Anticiper les contraintes et prévoir les risques :

Si aujourd'hui les TPE/PME n'ont pas d'obligations légales de faire de la RSE, cela ne saurait tarder, alors autant prendre de l'avance sur ces sujets. De plus, identifier les risques permet de mieux les prévenir, et mieux les gérer. Cela permet donc de réduire les risques sociaux et environnementaux, et la réparation qui peut être nécessaire ..!

Réduire les coûts liés à l'activité de l'entreprise :

Évidemment, une démarche RSE permet de réaliser des économies. Réduction des consommations d'eau, d'énergie, de papier, réduction des coûts liés au turnover, à l’absentéisme, augmentation de la performance ... Une démarche RSE rapporte de l'argent, et c'est mesurable concrètement !

Améliorer la qualité de vos services et votre valeur ajoutée :

En co-construisant de nouvelles solutions avec vos parties prenantes, pour répondre à de nouveaux besoins.

Améliorer la réputation de votre entreprise :

Une démarche RSE structurée permet d'améliorer votre image de marque, et peut devenir un véritable facteur de différenciation auprès de vos concurrents, lors d'appel d'offre, etc.

Attirer et garder des talents :

76% des millénials estiment que l'engagement sociétal d'une entreprise est plus important que le salaire. Un salarié qui se sentira aligné avec vos valeurs, sera fidèle à votre entreprise et sera plus performant au quotidien.

Fédérer les collaborateurs autour d'un projet commun :

Les collaborateurs souhaitent être impliqués dans la démarche RSE de leur boite ! C'est un véritable facteur de cohésion et de responsabilisation des équipes.

Avantages d'une démarche RSE

Développer des relations durables avec vos parties prenantes :

En les identifiant, les hiérarchisant, vous pouvez développer une véritable relation de confiance et de coopération avec elles.

Améliorer la performance de l'entreprise :

Evidemment ! Une démarche RSE structurée et suivie est rentable, et permettra à votre entreprise d'être plus performante.

Oui, les avantages d’une démarche RSE sont nombreux ! Mais pour les obtenir, il n'y a pas de secret : encore une fois, il faut structurer sa démarche RSE.

Structuration, anticipation et amélioration telles sont les promesses et les avantages d’une démarche RSE efficace et rentable ! 


Pour aller plus loin, découvrez notre brochure sur la valorisation de vos engagements RSE :

Vous faites sûrement déjà de la RSE sans le savoir, et vous avez peut-être déjà commencé à structurer votre démarche. Bravo !

Et maintenant, si on voyait ensemble comment aller un cran plus loin ?

Nous vous proposons d'organiser un échange téléphonique dans les jours qui viennent, afin de déterminer ensemble les prochaines étapes afin de structurer davantage votre démarche RSE !

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