La RSE se base sur une norme, la norme ISO 26000. Cette norme est construite autour de 7 thèmes principaux, regroupant des pistes d’action. Nous allons donc voir quels sont ces thèmes sur lesquels repose la RSE.
Pour commencer, ce webinaire a démarré par une redéfinition de la RSE. Il est important de rappeler que la RSE est l’application du développement durable en entreprise. Il faut également rappeler que la RSE ne concerne pas uniquement l’environnement, mais également 6 autres thèmes que nous allons développer.
La définition officielle du développement durable, énoncé dans le rapport Brundtland est la suivante : “Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs”.
La RSE est une démarche majoritairement volontaire, mais certaines entreprises répondant à certains critères, sont contraintes d’en faire et de la communiquer à travers un rapport extra-financier.
La RSE est dictée par une norme universelle, de référence, il s’agit de la norme ISO26000. Cette norme, cadre de référence, divise la RSE en 7 thèmes distincts.
Nous allons donc désormais voir quels sont les 7 thèmes de la RSE.
La RSE englobe donc la relation que nous avons avec notre environnement, mais aussi avec les parties prenantes, il faut travailler sur la globalité.
Effectivement, il n’est pas possible de travailler sur tous ces thèmes en même temps, il faut les prioriser, en fonction de son activité, pour travailler sur les thèmes qui sont les plus prioritaires en premier.
La première chose à faire pour prioriser ses enjeux RSE est de définir ses parties prenantes, c’est-à-dire toutes les personnes qui sont touchées par l’activité de l’entreprise, ou qui influent dessus. Ce sont aussi ses parties prenantes qui vont aider à les prioriser, en fonction de leurs besoins et du niveau de relation que l’on a avec elles.
Il faut essayer de correspondre à leurs attentes également.
Ensuite, il faut mesurer l’impact des actions sur l’activité de l’entreprise. Cela permet de voir qu’elles sont les actions les plus efficaces et donc intéressantes à mettre en oeuvre sur le court terme.
Ce classement s’appelle une “matrice de matérialité”, il s’agit donc de prioriser en fonction de la pertinence, dans un tableau recoupant les attentes des parties prenantes et l’impact de l’action.
Tout d’abord, il faut préparer sa démarche RSE, en désignant un référent RSE, définissant ses objectifs et en se formant à la RSE.
Ensuite, il faut structurer sa démarche, en identifiant ses parties prenantes, en identifiant sa matérialité et en réalisant une auto-évaluation sur sa démarche.
Il faut ensuite bien sûr déployer sa démarche, par la mise en place d’un plan d’action, la sensibilisation de ses équipes, et la définition d’indicateurs pertinents.
Et enfin, il faut communiquer et valoriser ce qui a été fait, notamment en mettant en place des actions de communication externe (site, réseaux sociaux, …), déployer des actions de communication interne (réunion, affichage, évènements, …), faire des points réguliers en équipe et s’orienter possiblement vers un label RSE.
La démarche RSE se met en place sur le long terme et nécessite de la motivation et de l’implication.
Si vous souhaitez vous faire accompagner dans cette démarche, n’hésitez pas à nous contacter.