Chez Rupture Engagée, nous accompagnons les entreprises dans la structuration de leur stratégie RSE. Mais une bonne stratégie n’est rien sans la mobilisation et l’engagement terrain des collaborateurs. C’est là que notre partenaire Gandee Bouge ton Good entre en scène : une solution ludique, connectée et solidaire pour faire vivre concrètement la RSE au quotidien.
Une démarche RSE efficace n’est pas un simple plan d’action sur une feuille, s’est un projet qui doit vivre au sein de l’entreprise via l’implication de ses parties prenantes. C’est pourquoi la mobilisation de ses collaborateurs est devenue le pilier central de toute démarche RSE réussie.
Le projet RSE ne se limite pas qu’à des documents formalisés en interne ou à quelques communications ponctuelles. Il est nécessaire de mettre en place des actions collectives pour engager un véritable changement.
Impliquer vos équipes, c’est :
Alors dialoguez avec eux, sensibilisez-les et rendez-les acteurs de votre démarche RSE !
Mais dans le quotidien d’une entreprise, entre objectifs commerciaux, surcharge mentale et planning serré, comment faire vivre ses engagements RSE auprès des équipes ?
C’est là que la gamification de la RSE permet de traduire vos engagements en actions concrètes !
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La Commission européenne a récemment proposé un projet de loi européen “omnibus” visant notamment à simplifier la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) et plus largement, le Pacte vert européen. Dans cet article, nous vous décryptons cette actualité et nous vous aidons à vous positionner en tant qu'entreprise concernée par cette directive omnibus CSRD.
Pour rappel, cette réforme est actuellement au stade de proposition, mais il est intéressant de comprendre quels changements elle pourrait impliquer afin de se positionner face à celle-ci.
La directive Omnibus CSRD est un projet de loi visant à simplifier la CSRD en passant par l’élévation des seuils d'application de la CSRD.
Initialement, la CSRD s'appliquait aux entreprises dépassant 250 employés, un chiffre d'affaires de 50 millions d'euros ou un total de bilan de 25 millions d'euros. Avec la directive Omnibus, ces seuils seraient relevés à 1 000 employés, réduisant ainsi de 80 % le nombre d'entreprises concernées.
Ainsi une partie des entreprises concernées dès cette année par la directive (les entreprises au-delà de 500 salariés) pourraient finalement se voir exemptées alors que celles-ci ont déjà engagé des efforts et des dépenses de mise en conformité. D'autres au contraire, qui devaient être assujetties au reporting en 2026 ou en 2027, ne seraient désormais plus du tout concernées par le reporting obligatoire.
La proposition directive omnibus CSRD a pour principal objectif de simplifier les charges administratives et réglementaires liées au reporting CSRD tout en maintenant l’objectif de transition écologique et en restant compétitif à l’international.
L’objectif final d’atteindre la neutralité carbone en Europe d’ici 2050 n’a pas changé !
Cette réforme, si elle aboutit, signifie que la majorité des PME seraient exemptées des obligations de reporting de durabilité imposées par la CSRD. Si c’est le cas, ces entreprises ne seraient pas tenues de se conformer aux exigences de reporting en matière de durabilité.
Pour les entreprises de 1000+ salariés ET 50M€+ CA OU 25M€+ de bilan, il y aura a priori peu de modifications.
Pour les entreprises de 500-1000 salariés : Il est possible que la CSRD ne soit pas conservée au niveau européen et donc que les lois locales comme la DPEF restent applicables. Si le Parlement Européen décide de maintenir la CSRD, la Commission recommande de décaler de 2 ans pour les entreprises de 500-1000 salariés. Pour information, dans 20 pays, la CSRD est déjà transposée. La CSRD et le reporting restent donc à date applicable.
Pour les entreprises de 250-500 salariés, il est possible que la CSRD ne soit pas conservée.
Il est possible que la LSME remplace la CSRD. La LSME, Listed SMEs Sustainability Reporting Standard, est une norme européenne de reporting de durabilité destinée aux PME cotées sur des marchés réglementés.
Élaborée par l'EFRAG (European Financial Reporting Advisory Group), cette norme vise à fournir un cadre adapté aux capacités et aux besoins spécifiques de ces entreprises, tout en respectant les exigences de la directive CSRD. Elle a pour vocation d' être une version simplifiée de la CSRD.
La LSME est donc plus accessible tout en préservant les éléments essentiels de la CSRD :
La LSME contient uniquement les indicateurs narratifs les plus importants. Comparativement à la CSRD, c’est environ 60% des indicateurs narratifs et semi-narratifs qui seront supprimés. En revanche, la majorité des indicateurs quantitatifs de la version classique de la CSRD sont conservés.
La VSME (Voluntary Sustainability Reporting Standard for SMEs) est une norme européenne volontaire de reporting de durabilité conçue pour aider les PME non cotées en bourse à structurer et communiquer leur impact environnemental, social et de gouvernance (ESG).
Elle a été adoptée par l'EFRAG (European Financial Reporting Advisory Group) en novembre 2024. La VSME correspond en autre, à une version allégée de la CSRD avec environ 40% d’indicateurs de moins.
Selon la directive Omnibus CSRD, la Commission prévoit d'adopter le standard VSME comme acte délégué dès que possible.
La VSME offre aux PME une opportunité de structurer leurs rapports de durabilité de manière cohérente et proportionnée à leurs ressources, leur permettant ainsi de répondre aux sollicitations croissantes des grandes entreprises, des investisseurs et des autres parties prenantes concernant leurs pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).
Possiblement non obligées, les PME auront la possibilité d'adopter des normes volontaires, telles que la VSME (Voluntary Standard for SMEs), pour structurer leur reporting de durabilité.
À ce propos, voici ce qu’écrit la Commission européenne :
"La norme volontaire VSME sera un outil simple qui aidera les entreprises non concernées à fournir des informations sur la durabilité aux grandes entreprises soumises aux exigences CSRD. La norme volontaire VSME servira de bouclier ou de « plafond de chaîne de valeur » pour les entreprises hors champ d’application. Les entreprises relevant du champ d’application de la CSRD ne pourront pas demander aux entreprises de leur chaîne de valeur qui ne sont pas concernées, y compris les PME et les petites et moyennes entreprises, des informations allant au-delà des informations énoncées dans la norme volontaire VSME.”
En effet, il est important de noter que, même si les PME ne sont pas directement soumises à la CSRD, elles pourraient être sollicitées par des entreprises plus grandes pour fournir des informations liées à la durabilité. Les grandes entreprises soumises à la CSRD pourraient exiger des données de la part de leurs fournisseurs pour satisfaire à leurs propres obligations de reporting.
Bien que de nombreuses personnes considèrent cette proposition comme un recul préoccupant et qui menace les différentes avancées en faveur de la transition écologique et des droits humains, nous pouvons aussi y voir une façon d’offrir de l’agilité aux entreprises tout en poursuivant l’atteinte initialement prévue : instaurer un socle de reporting uniforme, complet et transparent à partir d’indicateurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) à communiquer.
Car oui, même si la Commission européenne semble vouloir instaurer ces changements, l’objectif premier ne change pas : faire de l’Europe le premier continent neutre en carbone et un leader de la transition écologique.
Nous conseillons aux entreprises d’aller au bout des efforts déjà menés afin qu’ils ne soient pas vains, notamment en attendant d’y voir plus clair. Terminer votre double matérialité ou la collecte de vos données vous protège de tous les scénarios possibles.
Nous sommes convaincus que le reporting RSE ou ESG ne va pas s’arrêter ici. La plupart des investisseurs ou parties prenantes n’ont pas attendu la CSRD pour vous demander vos performances RSE.
Pour rappel, l’objectif de la neutralité carbone d’ici 2050 est toujours d’actualité, le dérèglement climatique n’a pas disparu, ni les inégalités sociales … Il est donc encore important d’agir et de poursuivre les efforts menés !
Voyons le côté positif de la chose, s’il y a moins de reporting, cela nous laisse plus de temps pour agir et mettre en place des actions concrètes pour la transition sociétale.
Enfin, la Directive Omnibus CSRD doit encore être votée par le Parlement Européen. Si ce texte est adopté, il devra ensuite être transposé au niveau national. En attendant, la CSRD reste en vigueur dans les pays qui l'ont déjà transposée. Rien n'est acté avant un vote final prévu entre mi et fin 2025. Alors en attendant, les entreprises concernées ont tout intérêt à poursuivre les projets CSRD.
Rupture Engagée vous accompagne dans la mise en conformité de votre entreprise en vous aidant à transformer les obligations réglementaires en leviers de performance durable.
Avec un accompagnement sur mesure et une approche pragmatique, nous permettons aux entreprises de répondre aux exigences réglementaires tout en renforçant leur attractivité.
Alors vous souhaitez engager votre rupture ?
Les parties prenantes jouent un rôle clé dans la réussite et la durabilité d’une entreprise. Clients, employés, fournisseurs… Leur engagement est essentiel pour une stratégie RSE efficace. Mais comment bien les identifier et les mobiliser ? Découvrez les étapes clés pour instaurer un dialogue constructif et créer de la valeur durable.
Une partie prenante est un acteur, individuel ou collectif (groupe ou organisation), activement ou passivement concerné par une décision ou un projet. Son intérêt peut être affecté positivement ou négativement à la suite de son exécution (ou de sa non-exécution).
Les parties prenantes peuvent ainsi influencer ou bien être impactées par un projet.
Dans une entreprise, les parties prenantes regroupent toutes les personnes ou groupes de personnes pouvant influencer les décisions et la stratégie d’une entreprise, ou bien être impactées par celles-ci. Leur prise en compte est donc essentielle pour assurer la durabilité et la performance de l’entreprise, notamment dans une démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE).
Elles sont classées en 2 catégories : les parties prenantes internes et les parties prenantes externes
Les parties prenantes internes sont celles qui font partie intégrante de l’organisation et contribuent directement à son fonctionnement quotidien :
Les parties prenantes externes sont des acteurs extérieurs à l’entreprise mais qui ont un impact sur elle ou en subissent les effets :
L’identification des parties prenantes est essentielle pour comprendre l’environnement de l’entreprise et adapter sa stratégie en conséquence. Cela permet notamment de :
Chaque partie prenante a des attentes spécifiques. Une communication ciblée permet d’instaurer un dialogue constructif et d’optimiser l’impact des messages.
Analyser les parties prenantes aide à anticiper les évolutions du marché, des réglementations et des attentes sociétales.
Une entreprise doit connaître les risques liés à son activité (sociaux, environnementaux, économiques) et saisir les opportunités de collaboration avec ses parties prenantes.
Avant d’engager les parties prenantes, il est primordial de les recenser et de les cartographier afin de mieux comprendre leurs attentes et influences.
Une cartographie des parties prenantes permet de visualiser l’ensemble des acteurs clés et leurs relations avec l’entreprise.
Voilà des exemples de cartographie de parties prenantes :
Après avoir identifié ses parties prenantes, il est important de les hiérarchiser pour définir leur niveau d’engagement lors de votre démarche RSE.
La matrice pouvoir-intérêt est un outil efficace pour hiérarchiser les parties prenantes. Elle classe ces dernières en fonction de :
Source : Blog de Gestion de Projet
Cette classification permet de définir quatre niveaux d’engagement :
Cela vous donnera vos différents axes d’engagements pour la suite en fonction des enjeux liés à chaque partie prenante.
Le dialogue avec les parties prenantes est essentiel pour créer un climat de confiance et recueillir leurs attentes. Cela peut passer par :
Pour en savoir plus n’hésitez pas à regarder notre webinaire sur le dialogue avec les parties prenantes ou bien à lire notre article à ce sujet.
L’engagement ne doit pas être une simple consultation, mais une véritable co-construction. Pour cela, l’entreprise peut :
Chez Rupture Engagée, nous accompagnons les entreprises dans l’identification, la hiérarchisation et l’engagement de leurs parties prenantes pour structurer efficacement leur démarche RSE.
Alors vous souhaitez engager votre rupture ?
L’Union Européenne, dans sa volonté de renforcer la responsabilité sociétale des entreprises, a introduit la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive). L’un des concepts fondamentaux de cette directive est la double matérialité. Comprendre ce qu’est la double matérialité et savoir comment réaliser une analyse de double matérialité est essentiel pour répondre aux exigences de la CSRD.
Dans cet article, nous allons définir la double matérialité, expliquer comment effectuer une analyse efficace et présenter les étapes pour créer une matrice de double matérialité.
La double matérialité est un concept clé de la CSRD, c’est une analyse qui permet de questionner les rapports entre l’entreprise et son environnement avec une double perspective et de classifier ces enjeux par ordre d’importance.
Pour rappel, le terme “matérialité” désigne la pertinence d’une information ou d’un enjeu. Une information ou un enjeu sont considérés comme matériels s’ils ont une influence significative sur la prise de décision d’une entreprise et de ses parties prenantes.
Ainsi, la double matérialité consiste à identifier et prioriser les enjeux les plus pertinents pour votre entreprise à partir de 2 perspectives distinctes et complémentaires :
C’est l’impact qu’a l’entreprise sur des facteurs externes, donc sur la société et l’environnement, à travers son activité.
Exemples : les émissions de CO2 de l’entreprise et leur impact sur le réchauffement climatique ou bien les pratiques sociales et leur impact sur les conditions de travail.
C’est l’impact qu'ont les enjeux ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) sur le modèle de l’entreprise.
Exemples : la hausse du coût des assurances liée au réchauffement climatique ou encore une mauvaise image de l’entreprise liée à des pratiques non-responsables.
La double matérialité permet donc d’adopter une vision globale des enjeux ESG en prenant en compte à la fois l’impact de l’entreprise sur ces sujets, mais également comment elle est elle-même impactée.
L’analyse de double matérialité offre à l’entreprise une vision claire des risques et opportunités liés aux enjeux ESG, lui permettant ainsi de mieux les anticiper. Cette approche favorise une prise de décision éclairée pour capitaliser sur les opportunités tout en maîtrisant les éventuels risques.
En outre, elle aide à écarter les enjeux non-matériels ou non-pertinents, en fonction de l’activité de l’entreprise. Cela simplifie et rationalise les efforts de reporting exigés par la CSRD, en concentrant les ressources sur les sujets vraiment stratégiques.
Pour réaliser une analyse de double matérialité, il est nécessaire de suivre plusieurs étapes clés :
Tout d’abord, vous devrez identifier et lister l’ensemble des activités de votre entreprise ainsi que vos parties prenantes internes et externes. (employés, clients, fournisseurs, investisseurs, collectivités locales, etc.)
Il est essentiel de recueillir l’avis de vos parties prenantes sur l’importance des différents enjeux. Avant cela, il faudra donc hiérarchiser vos parties prenantes pour pouvoir ensuite les consulter.
Commencez par identifier les questions ESG pertinentes pour votre secteur d’activité et ensuite lister les enjeux. Voilà une liste des différents sujets à prendre en compte pour chaque type d’enjeu ainsi que quelques exemples :
Maintenant que vous avez listé l’ensemble des enjeux, vous devez les hiérarchiser en fonction des deux dimensions de l’analyse de double matérialité :
Une fois les enjeux hiérarchisés, vous devrez déterminer quels sont les enjeux matériels (pertinents) et en faire découler des indicateurs.
Crédit : Goodwill Management
La matrice de double matérialité est un outil visuel qui permet de représenter les résultats de l’analyse de double matérialité.
La matrice comporte deux axes, un pour chaque dimension de l’analyse :
Vous devrez ensuite placer les enjeux identifiés sur la matrice, en fonction de leur importance relative sur chaque axe.
Les enjeux situés dans le coin supérieur droit de la matrice sont ceux qui présentent à la fois un impact financier significatif et un impact majeur sur la société et l’environnement. Ce sont les priorités stratégiques pour l’entreprise.
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Comment mesurer la RSE ? Le choix de vos indicateurs RSE est une étape clef de votre démarche RSE : pertinent, mesurable, utile, l'indicateur RSE est un élément crucial.
Dans cet article, nous vous présentons les principaux indicateurs à suivre et à intégrer dans votre rapport RSE pour piloter efficacement vos engagements et améliorer vos performances en développement durable.
Pour rappel, la RSE, ou Responsabilité Sociétale des Entreprises, consiste à intégrer les principes du développement durable dans la stratégie et les pratiques de votre organisation. Mais comment mesurer vos avancées en matière de RSE ? C’est ici qu’entrent en jeu les indicateurs RSE.
Un indicateur RSE de performance est une donnée chiffrée qui permet de suivre et d’évaluer où en est votre entreprise en termes de responsabilité sociétale. Ces indicateurs peuvent couvrir différents aspects : environnement, conditions de travail, gouvernance, impact sur la société, etc.
Pour que ces indicateurs soient pertinents, ils doivent être suivis régulièrement. Nous recommandons de les réévaluer au moins une fois par semestre pour mesurer les évolutions et ajuster vos stratégies.Il existe des outils qui facilitent le suivi de ces indicateurs, comme la plateforme Zei, qui propose un tableau de bord personnalisé permettant de piloter vos indicateurs RSE de manière efficace.
Votre rapport RSE est bien plus qu'un document de communication. Il permet de rendre compte de vos engagements et de vos résultats. Voici pourquoi les indicateurs RSE sont essentiels dans ce rapport :
Les chiffres apportent de la légitimité à vos engagements. Plutôt que de vous contenter d’affirmations qualitatives, les indicateurs permettent de présenter des preuves concrètes de vos progrès.
Les indicateurs vous permettent de comparer vos performances RSE d'une année à l'autre. Vous pourrez ainsi suivre vos progrès sur des critères précis et identifier les domaines où vous devez concentrer vos efforts.
Un rapport basé sur des données chiffrées est un gage de transparence. Cela inspire confiance à vos parties prenantes (clients, collaborateurs, investisseurs, etc.) et renforce votre image de marque.
Les indicateurs RSE doivent refléter les enjeux propres à votre secteur d’activité et la réalité de vos opérations. Chaque secteur présente des défis spécifiques en matière de développement durable, et les indicateurs doivent s’adapter à ces particularités pour être pertinents.
Par exemple, une entreprise manufacturière devra surveiller de près ses émissions de CO2 et sa gestion des déchets, tandis qu'une entreprise de services mettra davantage l'accent sur des indicateurs relatifs au bien-être des employés ou à la diversité des équipes.
Prenons un autre exemple concret : une agence de communication digitale pourra publier des indicateurs relatifs au numérique responsable, alors qu’une entreprise du secteur du BTP devra prioriser des indicateurs liés à l’impact environnemental, comme la réduction des déchets de chantier ou la gestion des ressources naturelles.
En adaptant vos indicateurs aux spécificités de votre activité, vous maximisez leur impact et répondez mieux aux attentes de vos parties prenantes.
Pour suivre efficacement vos performances RSE, il est essentiel de choisir des indicateurs simples à collecter et à analyser. Des indicateurs facilement mesurables vous permettent de gagner du temps et de réduire la charge administrative liée à la collecte des données.
De plus, des indicateurs facilement mesurables permettent un suivi régulier des performances de votre entreprise dans le temps. Cela vous aide à évaluer l’efficacité de vos actions RSE, à ajuster vos stratégies en fonction des résultats obtenus, et à valoriser les progrès réalisés d’année en année.
Pour structurer vos indicateurs RSE de manière complète et cohérente, vous pouvez vous appuyer sur la norme ISO 26000, qui constitue une référence internationale en matière de responsabilité sociétale. Cette norme définit 7 thématiques centrales à prendre en compte dans une démarche RSE :
Structurer vos indicateurs autour des 7 thématiques vous permet de couvrir tous les aspects de la RSE et d’éviter les oublis.
Besoin d’aide pour sélectionner les indicateurs RSE adaptés à votre entreprise ?
Chez Rupture Engagée, nous accompagnons les entreprises dans la création d'un tableau de bord d'indicateurs RSE personnalisé et pertinent, alignés sur vos enjeux spécifiques et conformes aux meilleures pratiques.
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Pour valoriser votre démarche RSE en 2025, rien de plus facile que d'utiliser les journées dédiées à la RSE et au développement durable !
Pour cela, nous vous avons préparé notre calendrier RSE 2025. Vous y retrouverez les journées et semaines engagées.
Les journées et semaines dédiées à la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) sont des occasions parfaites pour créer des initiatives, organiser des événements ou communiquer sur des actions engagées par une entreprise.
Par exemple pour la journée mondiale du vélo le 3 juin 2025, une entreprise peut communiquer sur les collaborateurs qui se rendent au travail en mobilité douce.
Ces événements permettent de communiquer auprès de ses clients, ses abonnés, ou même encore ses fournisseurs ou ses actionnaires. Utiliser les événements RSE 2025 est également un moyen d'animer sa démarche en interne en organisant des challenges (lors du Digital Clean Up Day le 15 mars par exemple).
24 : Journée mondiale de l'éducation
25 : Journée nationale contre le sexisme
26 : Journée internationale des énergies propres
28: Journée mondiale de la protection des données
03 : Journée mondiale sans paille
04 : Journée mondiale contre le cancer
06 : Journées mondiale sans téléphone
20 : Journée mondiale de la justice sociale
27 : Journée mondiale des ONG
01 : Journée « zéro discrimination »
03 : Journée mondiale de la vie sauvage
08 : Journée mondiale des droits des femmes
15 : Digital CleanUp Day
18 : Journée mondiale du recyclage
19 : Talents for the Planet Paris
20 : Journée mondiale sans viande
22 : Journée mondiale de l’eau
30 : Journée internationale du zéro déchet
Du 20 au 30 mars : Semaine pour les alternatives aux pesticides
Du 29 mars au 13 avril : Quinzaine du compostage “Tous au Compost !“
Du 29 mars au 13 avril : Quinzaine du compostage “Tous au Compost !“
07 : Journée mondiale de la santé
22 : Journée mondiale de la Terre
28 : Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail
Mai : Mai à vélo
01 : Fête du travail
08 : Journée mondiale de la Croix Rouge
10 : Journée mondiale du commerce équitable
11 : Journée mondiale des espèces menacées
12 : Journée internationale de la santé des végétaux
20 : Journée mondiale des abeilles
22 : Journée mondiale de la biodiversité
02 : Journée mondiale pour un Tourisme Responsable
03 : Journée mondiale du vélo
05 : Journée mondiale de l’environnement
08 : Journée mondiale des océans
Du 10 au 12 juin : Semaine européenne de l’énergie durable
Du 10 au 12 juin : Salon Preventica Paris
14 : Journée mondiale des donneurs de sang
15 : Journée mondiale contre la faim
17 : Journée mondiale contre la désertification et la sécheresse
Du 17 au 21 juin : Semaine pour la qualité de vie au travail
03 : Journée mondiale sans sacs plastique
11 : Journée mondiale de la population
19 : Journée mondiale de l’aide humanitaire
25 : Journée mondiale des vêtements d'occasion
05 : Journée mondiale de la charité
07 : Journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus
16 : Journée internationale de la protection de la couche d’ozone
Du 16 au 22 septembre : Semaine de la mobilité
18 : Journée internationale de l’égalité de rémunération
18 septembre au 8 octobre : Semaine du développement durable
21 : World CleanUp Day
21 : Journée mondiale de la paix
22 : Journée mondiale sans voiture
01 : Journée mondiale du végétarisme
07 : Journée mondiale pour le travail décent
Du 8 au 9 octobre : Salon Produrable
13 : Journée mondiale de la prévention des catastrophes naturelles
Du 14 au 16 octobre : Salon Preventica Bordeaux
16 : Journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire
Novembre : Mois de l’Economie Sociale et Solidaire
06 : Journée mondiale sans papier
21 : DuoDay Emploi & Handicap
25 : Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
29 : Journée mondiale sans achat
02 : Giving Tuesday
03 : Journée mondiale des personnes en situation de handicap
05 : Journée mondiale de l'égalité des chances
08 : Journée mondiale du climat
10 : Journée mondiale des droits de l’homme
Du 10 au 21 novembre : COP 30
20 : Journée mondiale de la solidarité humaine
Avec plus de 5 ans d'expérience dans la RSE, l'équipe Rupture Engagée vous accompagne dans les différentes étapes de votre démarche RSE. De la structuration à la communication en passant par la sensibilisation et le déploiement, nous vous proposons un accompagnement 100% sur-mesure !
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La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) s'impose aujourd’hui comme un enjeu majeur pour les entreprises. Dans ce contexte, la charte RSE joue un rôle essentiel : elle permet de synthétiser et de communiquer efficacement vos engagements auprès de vos parties prenantes. Mais qu’est-ce qu’une charte RSE exactement, et comment peut-elle bénéficier à votre organisation ?
La charte RSE est un document concis et visuel qui résume les engagements d’une entreprise en matière de RSE. Il constitue une vitrine accessible et facile à partager de votre démarche responsable.
Bien qu’ils soient complémentaires, la charte RSE et le rapport RSE remplissent des fonctions distinctes :
En résumé, si le rapport RSE est l’encyclopédie de votre démarche, la charte RSE en est l’affiche emblématique.
Pour qu’une charte RSE soit réussie, elle doit être bien structurée et refléter authentiquement vos engagements. Voici les éléments essentiels à inclure :
La charte RSE va bien au-delà d’un simple document, elle apporte une valeur ajoutée stratégique à votre entreprise.
Une charte bien conçue est un outil de communication percutant. Elle vous permet de partager vos engagements RSE avec vos parties prenantes de manière claire et engageante, renforçant ainsi votre crédibilité et votre image.
Clients, collaborateurs, investisseurs ou partenaires : tous attendent des entreprises qu’elles prennent position sur des sujets comme l’éthique, le climat ou l’inclusion. La charte RSE montre que vous êtes à l’écoute et proactif.
Formaliser vos engagements dans une charte vous oblige à maintenir le cap. Cela instaure une discipline interne et vous motive à atteindre vos objectifs tout en rendant compte de vos progrès.
Une démarche RSE bien communiquée peut améliorer la fidélité client, attirer des talents et optimiser vos processus. La charte agit comme un levier pour valoriser vos efforts et maximiser leur impact économique et social.
La charte RSE est un puissant outil de communication pour présenter vos engagements de façon claire et adaptée à vos différentes parties prenantes. Une approche engageante et authentique favorise leur soutien et renforce leur implication dans votre démarche.
Fixer des objectifs clairs et temporellement définis est essentiel pour crédibiliser votre démarche RSE. Pourquoi ? Parce que des engagements flous risquent de susciter le scepticisme. En revanche, des objectifs bien construits permettent à vos parties prenantes de mesurer votre impact et de suivre vos progrès.
Un visuel attractif peut faire toute la différence dans la perception de vos engagements. Les graphiques, infographies et les illustrations rendent vos messages plus accessibles et mémorables. Les éléments visuels attirent l’attention et facilitent la compréhension, même sur des sujets complexes.
Les engagements prennent tout leur sens lorsqu’ils sont illustrés par des actions réelles. Des exemples concrets renforcent votre crédibilité et montrent que votre entreprise agit véritablement en faveur de ses valeurs.
La transparence est une qualité essentielle pour établir la confiance avec vos parties prenantes. Elle prouve votre sincérité, même lorsque vous rencontrez des difficultés ou que vous n’atteignez pas vos objectifs initiaux. Expliquez les défis rencontrés, les raisons des retards éventuels, et les mesures prises pour surmonter ces obstacles.
La communication est un point clé dans une démarche RSE. Rupture Engagée accompagne au quotidien les entreprises dans la mise en place d'une stratégie de communication responsable.
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Le rapport RSE est un rapport qui a pour but de communiquer de manière formelle, les engagements et les actions d’une entreprise en faveur des sujets sociaux et environnementaux. En 2025 certaines entreprises se voient dans l’obligation de publier un rapport sur des éléments extra-financiers en vue de la réglementation CSRD.
Le rapport de Responsabilité Sociétale des Entreprises est un document qui fait un état des lieux des engagements de l'entreprise envers les sujets environnementaux et sociétaux. Il est publié par les entreprises de manière volontaire tous les ans.
Non, le rapport RSE ne devient pas obligatoire en 2025, ce qui devient obligatoire par le biais de la réglementation CSRD, c’est de publier un rapport de durabilité. Le rapport de durabilité est souvent appelé rapport RSE de manière informelle, car ils sont très similaires de par leur contenu.
Ainsi, au sens strict du terme, le rapport RSE n’est pas obligatoire en 2025.
Rapport RSE : rapport publié volontairement par une entreprise souhaitant mettre en valeur ses engagements sur des sujets environnementaux, sociaux et sociétaux.
Rapport de durabilité : livrable attendu par la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) relative à la publication d’informations sur la durabilité des entreprises.
DPEF (Déclaration de Performance Extra-Financière) : ancienne appellation du rapport de durabilité utilisée avant l’entrée en vigueur de la directive CSRD, anciennement NFRD.
Ces 3 documents sont souvent confondus puisque nous avons l’habitude d’employer le terme “rapport RSE” dans notre langage courant pour les désigner.
En effet, on retrouve dans tous ces documents les mêmes informations ou bien des informations similaires. La différence se trouve dans leur encadrement légal.
Un rapport RSE peut contenir toutes les informations que l’entreprise souhaite partager puisqu’il n’a pas pour vocation de répondre à une réglementation particulière.
Cependant, le rapport de durabilité doit contenir des informations spécifiques sur les 3 thématiques de la CSRD :
Pour rendre compte de l’impact de l’entreprise sur le changement climatique, le rapport RSE doit contenir un Bilan Carbone® (bilan GES). Il va permettre de mesurer les émissions de gaz à effet de serre de l’entreprise, et donc sa contribution au dérèglement climatique.
Le rapport RSE, dans sa définition, n’est pas encadré légalement et est publié au bon vouloir des entreprises.
Cependant, le rapport de durabilité, parfois renommé rapport RSE, est bien inscrit dans un cadre légal qu’est la CSRD.
La CSRD, ou Corporate Sustainability Reporting Directive, est une directive européenne renforçant les obligations de publication d’informations au sujet de la durabilité des entreprises.
Cette réglementation attend des entreprises la publication d’un rapport de durabilité communiquant des informations sur les 3 thématiques suivantes :
Les informations publiées dans le rapport de durabilité devront être vérifiées par un organisme tiers pour certifier la véracité des informations communiquées dans le rapport.
Comme nous l’avons expliqué précédemment, ce n’est pas le rapport RSE qui devient obligatoire, mais bien le rapport de durabilité.
Tout d’abord, le rapport de durabilité d’une entreprise porte sur les performances de l’année passée. Il doit être publié à la fin d’un exercice comptable. Ainsi, les entreprises concernées par la CSRD en 2025, devront établir un rapport de durabilité sur les données de l’exercice 2024.
En 2025, les entreprises soumises à la directive CSRD sont celles qui étaient déjà concernées par la NFRD et donc qui sont dans l’obligation de publier une DPEF. Ainsi, sont concernées les entreprises remplissant au moins 2 de ces 3 critères :
Le rapport RSE constitue une preuve de vos engagements et de vos actions en matière de RSE. C’est un outil de communication efficace à partager avec vos différentes parties prenantes telles que vos collaborateurs, vos fournisseurs, vos actionnaires et autres.
Vous pouvez y partager vos objectifs, les actions mises en place, des témoignages, vos engagements et vos ambitions concernant la RSE.
N’hésitez pas à aller voir notre webinaire au sujet de la communication de vos engagements RSE en cliquant juste ici !
Nous vous accompagnons dans la communication de vos engagements RSE en vous conseillant dans la rédaction de votre rapport RSE ou de votre rapport de durabilité pour répondre aux contraintes réglementaires.
Alors vous souhaitez engager votre rupture ?
Jeudi dernier, nous participions au Salon de la Neutralité Carbone et de la RSE lors duquel Marion est intervenue lors d’une table ronde pour éclaircir le sujet des labels RSE.
Les labels RSE sont souvent vus comme l'objectif final pour une entreprise qui déploie sa démarche RSE. Les labels sont vus comme la validation de leurs actions.
Mais pourquoi obtenir un label RSE ? Et surtout lequel choisir pour son entreprise ?
Jeudi 28 novembre 2024 se déroulait le Salon de la Neutralité Carbone et de la RSE organisé par la Coopérative Carbone et Résolution.
Marion Martinez, fondatrice de Rupture Engagée est intervenue lors d’une table ronde au sujet des labels RSE aux côtés de Tom Coulonnier du Groupe Sica Atlantique avec comme animatrice, Solenne Jaupitre.
Les intervenants ont évoqué leur retour d’expérience au sujet des différents labels RSE afin que les entreprises puissent valoriser leur démarche RSE et de développement durable.
Un label est une certification qui évalue vos actions en fonction d’un ensemble de critères défini au préalable dans un référentiel précis.
Ainsi, un label RSE est une certification qui va attester de vos engagements et de vos actions sur les différents sujets relatifs à la RSE.
La RSE porte sur 7 thèmes définis par la norme ISO26000, à la différence d’un label, la norme ISO26000 est un référentiel non certifiable qui définit ce qu’est la RSE.
Voici les 7 thèmes évalués lors de l’obtention d’un label :
Chaque label est différent en raison du niveau d'exigence demandé sur les différents sujets. C'est un aspect à prendre en compte lors du choix de son label puisque certains sont plus axés sur les aspects environnementaux, d’autres sur les aspects sociétaux et autres.
Il est également important de savoir que l’obtention d’un label RSE demande aux entreprises de s’inscrire dans une démarche d’amélioration continue. En effet, les labels RSE procèdent à des audits plusieurs mois après l’obtention du label pour vérifier que l’entreprise est toujours engagée sur tous les sujets évalués.
Les labels RSE attestent d’un certain niveau d’engagement sur des critères précis et par des organismes reconnus. Ils apportent ainsi plus de crédibilité à votre démarche puisque celle-ci a été évaluée et reconnue.
Les labels RSE sont un véritable avantage lors de la réponse à des appels à projet ou bien simplement lors d’une négociation. C'est un élément qui pèse dans la balance si le client est soucieux de son impact ou bien s’il s’inscrit lui-même dans une démarche RSE.
Dans cette situation, vous aurez davantage de chances de gagner la négociation face à une entreprise qui n’est pas labellisée.
S’engager dans l’obtention et dans la conservation d’un label RSE montre votre engagement pour les sujets sociétaux qui sont aujourd’hui très importants pour les consommateurs. En effet, 97% des français se disent prêts à boycotter des entreprises ayant des pratiques sociales ou environnementales destructrices (source : Sénat, 2020).
Pour en savoir plus sur ces labels, n’hésitez pas à consulter notre guide sur les labels RSE
Les labels RSE sectoriels sont des labels qui vont évaluer les entreprises sur des secteurs d’activités particuliers. Cela leur permet d’avoir un label plus adapté à leurs enjeux.
Les labels RSE thématiques évaluent plus en détails un aspect précis de la RSE.
Voici quelques exemples :
Votre activité est un élément clé à prendre en compte lors du choix de votre label RSE.
Il faut que celui-ci soit adapté aux caractéristiques de votre entreprise, de son fonctionnement et de son activité en général.
C’est pourquoi il est parfois intéressant de se tourner vers des labels RSE sectoriels dans un domaine d’activité précis puisqu’il sera au plus proche de vos enjeux.
Pour cela, il est important de bien définir et prioriser ses enjeux en termes de RSE pour ensuite choisir un label RSE qui évalue les critères que vous souhaitez mettre en valeur.
Dans certains cas, les labels RSE thématiques peuvent être une option adaptée.
Lors du choix de votre label RSE, vous devez être attentif aux critères évalués pour assurer l’obtention du label.
En effet, même si vous êtes engagés dans une démarche RSE, si vous ne répondez pas précisément aux critères du label, vous risquez de ne pas l’obtenir.
Une démarche RSE nécessite l’implication de vos parties prenantes tout au long de vos actions.
Ainsi, vous pouvez les consulter pour le choix de votre label RSE, qu’elles soient internes ou externes.
Notre équipe accompagne au quotidien des entreprises dans l’obtention d’un label RSE, pourquoi pas vous ?
Nous commencerons par un benchmark des labels RSE pour trouver celui qui sera le plus adapté et le plus pertinent pour votre entreprise.
Fêter Noël au sein d’une entreprise est un événement important pour la cohésion des équipes et pour favoriser les échanges informels. Ces moments sont très bénéfiques pour améliorer l'atmosphère générale de l’entreprise.
À l’approche des fêtes, les entreprises sont en pleine organisation de soirée, d’arbre de Noël, de cadeaux et autres, mais si vous avez une démarche RSE en interne, la réflexion va devoir aller au-delà des idées habituelles et trouver des alternatives pour un Noël responsable et engagé.
Les fêtes de fin d’année occupent une place centrale dans la culture française, symbolisant partage, générosité et convivialité. Cependant, derrière ces moments chaleureux se cachent des défis environnementaux majeurs. Entre les décorations souvent jetables, les millions de cadeaux non utilisés, les déplacements massifs en voiture, et les repas générateurs de gaspillage alimentaire, cette période festive engendre une empreinte écologique considérable.
La décoration joue un rôle central dans l’esprit des fêtes, mais son impact environnemental est souvent sous-estimé. En France, 66 % des Français achètent de nouvelles décorations chaque année, contribuant à une surconsommation de produits peu durables.
De plus, 4,2 millions de foyers installent des décorations lumineuses qu’ils laissent allumées durant toute la période des fêtes, générant à elles seules 2 % des émissions de gaz à effet de serre liés aux fêtes de fin d'année (136 kilotonnes de CO2).
Les cadeaux représentent une part importante des festivités, mais ils sont également responsables de 57 % des émissions de GES des fêtes de fin d’année, soit 3 575 kilotonnes de CO2.
En France, 300 millions de cadeaux sont offerts chaque année, dont 12 millions ne seront jamais utilisés et près d’1 million finiront directement à la poubelle.
Les trajets réalisés pendant les fêtes de fin d’année constituent 25 % des émissions de GES liées à cette période, soit 1 563 kilotonnes de CO2. En moyenne, les Français parcourent 177 km pour leurs festivités, et plus de 80 % des trajets sont effectués en voiture.
Le repas de Noël, symbole de convivialité, est aussi une source importante de gaspillage. En effet, 83 % des repas organisés pour les fêtes sont préparés en quantité excessive, entraînant un gaspillage alimentaire massif. Cela représente 15 % des émissions de GES des fêtes de fin d’année, soit 970 kilotonnes de CO2.
L'ensemble des données que nous vous avons présentées précédemment sont issues d’une étude menée par l’Ademe en septembre 2022.
Adopter une approche éco-responsable pour la décoration de Noël en entreprise permet de réduire son impact environnemental tout en insufflant une atmosphère chaleureuse et festive. Voici quelques idées pour concilier décoration et durabilité :
Offrir des cadeaux éco-responsables à vos collaborateurs et clients est une manière de célébrer Noël tout en affirmant votre engagement pour un avenir durable. Voici quelques suggestions pour des présents à la fois utiles et respectueux de l’environnement :
Un repas de Noël en entreprise peut être festif tout en étant respectueux de l’environnement. Voici des idées pour limiter son empreinte écologique et en faire un moment convivial et responsable :
La RSE commence par ce genre d'actions. C'est en décidant d'évoluer vers des habitudes plus responsables et engagées que tout commence.
Alors vous souhaitez engager votre rupture ?