Ce mardi 21 septembre, Zei a lancé son premier webinaire de la rentrée en commençant par une question très forte : “vos employés sont-ils heureux ?”. Sur le sujet du bonheur au travail, l’équipe de Zei était accompagnée pour l’occasion d’Antoine Ménard, le DRH et DAF de Make Sense, une entreprise à mission qui accompagne notamment les citoyens dans le bénévolat, les entrepreneurs ou encore les plus grosses organisations, pour les aider en formation.
Afin de définir clairement ce qu’est le bonheur, a été abordée une étude de Robert Waldinger sur le bonheur, qui a duré 75 ans et qui a fini par démontrer que pour être heureux il y avait la nécessité de trouver un sens à sa vie, et la nécessité d’avoir des relations sociales qualitatives. Ces deux notions sont applicables au monde professionnel. La question pour les employeurs est désormais de savoir si le bonheur des salariés dépend de l’entreprise ou non. Pour Antoine Ménard, il est clair que le bonheur des salariés ne dépend pas des entreprises mais que l'entreprise doit tout mettre en œuvre pour que ses salariés soient heureux.
Pour mesurer le bonheur et le degré d’épanouissement des salariés au sein de l’entreprise, Make Sense a réalisé, à l’aide d’un cabinet, une étude afin de mesurer, chaque année, comment chacun se sent dans l’entreprise. Zei a également réalisé un premier questionnaire en 2021 sur les attentes des salariés, mais également sur leur niveau de bien-être, etc… La jeunesse de l’entreprise ne doit pas être un frein à la mise en place d’indicateurs du bonheur.
Ensuite, les équipes de Zei et de Make Sense ont présenté les éléments qui peuvent généralement influencer le bonheur au travail, selon une étude Vistaprint :
mais aussi plus négativement :
Antoine Ménard a cité, dans le même temps, une étude de l’organisation GALLUP qui portait également sur le bonheur au travail mais dont aucune question ne portait sur le salaire puisque considéré comme indépendant du bonheur au travail.
Selon, à nouveau, une étude de Vistaprint, un employé heureux est
Ces modèles dits anglo-saxons, plaisent et inspirent de plus en plus d’entreprises. Chez Make Sense, ils s’appuient sur 4 piliers essentiels : la confiance, les processus, la formation et l’information. Chez Zei, ils ont mis en place, dès la création de l’entreprise, la notion de co-construction. Cela a amené à la création d’un pilier social qui a fini par devenir une valeur en soi. Évidemment, ce n’est pas grave si ces valeurs ne sont pas présentes dès le début dans l’entreprise, le plus important est de faire évoluer son entreprise. En effet, il n’est de toutes manières pas possible d’avancer sur les questions de transitions écologiques si on n’avance pas sur les questions sociales.
Un autre point essentiel à l’épanouissement des salariés sur le lieu de travail, est d’avoir un cadre de travail adapté. Cela passe premièrement par un bon équipement, afin de pouvoir travailler de manière efficace. Mais il est également possible d’aller plus loin, comme l’entreprise Make Sense, en créant un espace, au sein même des bureaux, ouverts à tous, permettant de rentrer et rester quelques heures dans ce “tiers lieu”, pour faire une pause ou rencontrer de nouvelles personnes par exemple. L’entreprise Zei a eu l’idée d’allier l’utile à l’agréable en faisant de la rénovation des bureaux une activité de teambuilding, afin que chaque employé puisse se sentir “ comme à la maison “.
Il est également essentiel d’intégrer son salarié à la démarche RSE et de faire vivre les valeurs de l’entreprise. Chaque entreprise doit définir ses propres valeurs et avoir sa propre culture, car chaque entreprise est unique et doit le revendiquer. Par exemple, chez Rupture Engagée, nos valeurs sont l’écoute, l’agilité, la bienveillance et l’amélioration continue. Afin de mettre en avant les connaissances des collaborateurs Zei et Make Sense, ont créé respectivement Zeitalks et Academy des Beans.
Enfin, afin de respecter un équilibre entre vie personnelle et professionnelle, ces deux entreprises ont mis en place des aménagements particuliers. Chez Make Sense, les salariés ne sont pas tous physiquement au siège et certains travaillent même depuis l’étranger, et les temps de travail sont flexibles et peuvent être adaptés. Cependant, environ une semaine par mois, toute l’équipe se retrouve au siège afin de faire vivre l’équipe.
Chez Zei, des congés solidaires sont mis en place, c’est-à-dire que chacun peut prendre de son temps de travail afin de s’engager dans des associations .
Les conseils et informations de ces deux entreprises engagées sont autant de pistes à explorer pour toutes les entreprises.
Et si vous avez envie de découvrir ce webinaire dans son intégralité, vous pouvez retrouver son enregistrement en cliquant ici.
Zei et Rupture Engagée sont partenaires ! Zei est une plateforme de pilotage de ces indicateurs RSE. Pour obtenir une démonstration, et rejoindre Zei à de supers conditions avantageuses, n'hésitez pas à nous contacter.