La Commission européenne a récemment proposé un projet de loi européen “omnibus” visant notamment à simplifier la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) et plus largement, le Pacte vert européen. Dans cet article, nous vous décryptons cette actualité et nous vous aidons à vous positionner en tant qu'entreprise concernée par cette directive omnibus CSRD.
Pour rappel, cette réforme est actuellement au stade de proposition, mais il est intéressant de comprendre quels changements elle pourrait impliquer afin de se positionner face à celle-ci.
La directive Omnibus CSRD est un projet de loi visant à simplifier la CSRD en passant par l’élévation des seuils d'application de la CSRD.
Initialement, la CSRD s'appliquait aux entreprises dépassant 250 employés, un chiffre d'affaires de 50 millions d'euros ou un total de bilan de 25 millions d'euros. Avec la directive Omnibus, ces seuils seraient relevés à 1 000 employés, réduisant ainsi de 80 % le nombre d'entreprises concernées.
Ainsi une partie des entreprises concernées dès cette année par la directive (les entreprises au-delà de 500 salariés) pourraient finalement se voir exemptées alors que celles-ci ont déjà engagé des efforts et des dépenses de mise en conformité. D'autres au contraire, qui devaient être assujetties au reporting en 2026 ou en 2027, ne seraient désormais plus du tout concernées par le reporting obligatoire.
La proposition directive omnibus CSRD a pour principal objectif de simplifier les charges administratives et réglementaires liées au reporting CSRD tout en maintenant l’objectif de transition écologique et en restant compétitif à l’international.
L’objectif final d’atteindre la neutralité carbone en Europe d’ici 2050 n’a pas changé !
Cette réforme, si elle aboutit, signifie que la majorité des PME seraient exemptées des obligations de reporting de durabilité imposées par la CSRD. Si c’est le cas, ces entreprises ne seraient pas tenues de se conformer aux exigences de reporting en matière de durabilité.
Pour les entreprises de 1000+ salariés ET 50M€+ CA OU 25M€+ de bilan, il y aura a priori peu de modifications.
Pour les entreprises de 500-1000 salariés : Il est possible que la CSRD ne soit pas conservée au niveau européen et donc que les lois locales comme la DPEF restent applicables. Si le Parlement Européen décide de maintenir la CSRD, la Commission recommande de décaler de 2 ans pour les entreprises de 500-1000 salariés. Pour information, dans 20 pays, la CSRD est déjà transposée. La CSRD et le reporting restent donc à date applicable.
Pour les entreprises de 250-500 salariés, il est possible que la CSRD ne soit pas conservée.
Il est possible que la LSME remplace la CSRD. La LSME, Listed SMEs Sustainability Reporting Standard, est une norme européenne de reporting de durabilité destinée aux PME cotées sur des marchés réglementés.
Élaborée par l'EFRAG (European Financial Reporting Advisory Group), cette norme vise à fournir un cadre adapté aux capacités et aux besoins spécifiques de ces entreprises, tout en respectant les exigences de la directive CSRD. Elle a pour vocation d' être une version simplifiée de la CSRD.
La LSME est donc plus accessible tout en préservant les éléments essentiels de la CSRD :
La LSME contient uniquement les indicateurs narratifs les plus importants. Comparativement à la CSRD, c’est environ 60% des indicateurs narratifs et semi-narratifs qui seront supprimés. En revanche, la majorité des indicateurs quantitatifs de la version classique de la CSRD sont conservés.
La VSME (Voluntary Sustainability Reporting Standard for SMEs) est une norme européenne volontaire de reporting de durabilité conçue pour aider les PME non cotées en bourse à structurer et communiquer leur impact environnemental, social et de gouvernance (ESG).
Elle a été adoptée par l'EFRAG (European Financial Reporting Advisory Group) en novembre 2024. La VSME correspond en autre, à une version allégée de la CSRD avec environ 40% d’indicateurs de moins.
Selon la directive Omnibus CSRD, la Commission prévoit d'adopter le standard VSME comme acte délégué dès que possible.
La VSME offre aux PME une opportunité de structurer leurs rapports de durabilité de manière cohérente et proportionnée à leurs ressources, leur permettant ainsi de répondre aux sollicitations croissantes des grandes entreprises, des investisseurs et des autres parties prenantes concernant leurs pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).
Possiblement non obligées, les PME auront la possibilité d'adopter des normes volontaires, telles que la VSME (Voluntary Standard for SMEs), pour structurer leur reporting de durabilité.
À ce propos, voici ce qu’écrit la Commission européenne :
"La norme volontaire VSME sera un outil simple qui aidera les entreprises non concernées à fournir des informations sur la durabilité aux grandes entreprises soumises aux exigences CSRD. La norme volontaire VSME servira de bouclier ou de « plafond de chaîne de valeur » pour les entreprises hors champ d’application. Les entreprises relevant du champ d’application de la CSRD ne pourront pas demander aux entreprises de leur chaîne de valeur qui ne sont pas concernées, y compris les PME et les petites et moyennes entreprises, des informations allant au-delà des informations énoncées dans la norme volontaire VSME.”
En effet, il est important de noter que, même si les PME ne sont pas directement soumises à la CSRD, elles pourraient être sollicitées par des entreprises plus grandes pour fournir des informations liées à la durabilité. Les grandes entreprises soumises à la CSRD pourraient exiger des données de la part de leurs fournisseurs pour satisfaire à leurs propres obligations de reporting.
Bien que de nombreuses personnes considèrent cette proposition comme un recul préoccupant et qui menace les différentes avancées en faveur de la transition écologique et des droits humains, nous pouvons aussi y voir une façon d’offrir de l’agilité aux entreprises tout en poursuivant l’atteinte initialement prévue : instaurer un socle de reporting uniforme, complet et transparent à partir d’indicateurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) à communiquer.
Car oui, même si la Commission européenne semble vouloir instaurer ces changements, l’objectif premier ne change pas : faire de l’Europe le premier continent neutre en carbone et un leader de la transition écologique.
Nous conseillons aux entreprises d’aller au bout des efforts déjà menés afin qu’ils ne soient pas vains, notamment en attendant d’y voir plus clair. Terminer votre double matérialité ou la collecte de vos données vous protège de tous les scénarios possibles.
Nous sommes convaincus que le reporting RSE ou ESG ne va pas s’arrêter ici. La plupart des investisseurs ou parties prenantes n’ont pas attendu la CSRD pour vous demander vos performances RSE.
Pour rappel, l’objectif de la neutralité carbone d’ici 2050 est toujours d’actualité, le dérèglement climatique n’a pas disparu, ni les inégalités sociales … Il est donc encore important d’agir et de poursuivre les efforts menés !
Voyons le côté positif de la chose, s’il y a moins de reporting, cela nous laisse plus de temps pour agir et mettre en place des actions concrètes pour la transition sociétale.
Enfin, la Directive Omnibus CSRD doit encore être votée par le Parlement Européen. Si ce texte est adopté, il devra ensuite être transposé au niveau national. En attendant, la CSRD reste en vigueur dans les pays qui l'ont déjà transposée. Rien n'est acté avant un vote final prévu entre mi et fin 2025. Alors en attendant, les entreprises concernées ont tout intérêt à poursuivre les projets CSRD.
Rupture Engagée vous accompagne dans la mise en conformité de votre entreprise en vous aidant à transformer les obligations réglementaires en leviers de performance durable.
Avec un accompagnement sur mesure et une approche pragmatique, nous permettons aux entreprises de répondre aux exigences réglementaires tout en renforçant leur attractivité.
Alors vous souhaitez engager votre rupture ?
Les parties prenantes jouent un rôle clé dans la réussite et la durabilité d’une entreprise. Clients, employés, fournisseurs… Leur engagement est essentiel pour une stratégie RSE efficace. Mais comment bien les identifier et les mobiliser ? Découvrez les étapes clés pour instaurer un dialogue constructif et créer de la valeur durable.
Une partie prenante est un acteur, individuel ou collectif (groupe ou organisation), activement ou passivement concerné par une décision ou un projet. Son intérêt peut être affecté positivement ou négativement à la suite de son exécution (ou de sa non-exécution).
Les parties prenantes peuvent ainsi influencer ou bien être impactées par un projet.
Dans une entreprise, les parties prenantes regroupent toutes les personnes ou groupes de personnes pouvant influencer les décisions et la stratégie d’une entreprise, ou bien être impactées par celles-ci. Leur prise en compte est donc essentielle pour assurer la durabilité et la performance de l’entreprise, notamment dans une démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE).
Elles sont classées en 2 catégories : les parties prenantes internes et les parties prenantes externes
Les parties prenantes internes sont celles qui font partie intégrante de l’organisation et contribuent directement à son fonctionnement quotidien :
Les parties prenantes externes sont des acteurs extérieurs à l’entreprise mais qui ont un impact sur elle ou en subissent les effets :
L’identification des parties prenantes est essentielle pour comprendre l’environnement de l’entreprise et adapter sa stratégie en conséquence. Cela permet notamment de :
Chaque partie prenante a des attentes spécifiques. Une communication ciblée permet d’instaurer un dialogue constructif et d’optimiser l’impact des messages.
Analyser les parties prenantes aide à anticiper les évolutions du marché, des réglementations et des attentes sociétales.
Une entreprise doit connaître les risques liés à son activité (sociaux, environnementaux, économiques) et saisir les opportunités de collaboration avec ses parties prenantes.
Avant d’engager les parties prenantes, il est primordial de les recenser et de les cartographier afin de mieux comprendre leurs attentes et influences.
Une cartographie des parties prenantes permet de visualiser l’ensemble des acteurs clés et leurs relations avec l’entreprise.
Voilà des exemples de cartographie de parties prenantes :
Après avoir identifié ses parties prenantes, il est important de les hiérarchiser pour définir leur niveau d’engagement lors de votre démarche RSE.
La matrice pouvoir-intérêt est un outil efficace pour hiérarchiser les parties prenantes. Elle classe ces dernières en fonction de :
Source : Blog de Gestion de Projet
Cette classification permet de définir quatre niveaux d’engagement :
Cela vous donnera vos différents axes d’engagements pour la suite en fonction des enjeux liés à chaque partie prenante.
Le dialogue avec les parties prenantes est essentiel pour créer un climat de confiance et recueillir leurs attentes. Cela peut passer par :
Pour en savoir plus n’hésitez pas à regarder notre webinaire sur le dialogue avec les parties prenantes ou bien à lire notre article à ce sujet.
L’engagement ne doit pas être une simple consultation, mais une véritable co-construction. Pour cela, l’entreprise peut :
Chez Rupture Engagée, nous accompagnons les entreprises dans l’identification, la hiérarchisation et l’engagement de leurs parties prenantes pour structurer efficacement leur démarche RSE.
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Pour valoriser votre démarche RSE en 2025, rien de plus facile que d'utiliser les journées dédiées à la RSE et au développement durable !
Pour cela, nous vous avons préparé notre calendrier RSE 2025. Vous y retrouverez les journées et semaines engagées.
Les journées et semaines dédiées à la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) sont des occasions parfaites pour créer des initiatives, organiser des événements ou communiquer sur des actions engagées par une entreprise.
Par exemple pour la journée mondiale du vélo le 3 juin 2025, une entreprise peut communiquer sur les collaborateurs qui se rendent au travail en mobilité douce.
Ces événements permettent de communiquer auprès de ses clients, ses abonnés, ou même encore ses fournisseurs ou ses actionnaires. Utiliser les événements RSE 2025 est également un moyen d'animer sa démarche en interne en organisant des challenges (lors du Digital Clean Up Day le 15 mars par exemple).
24 : Journée mondiale de l'éducation
25 : Journée nationale contre le sexisme
26 : Journée internationale des énergies propres
28: Journée mondiale de la protection des données
03 : Journée mondiale sans paille
04 : Journée mondiale contre le cancer
06 : Journées mondiale sans téléphone
20 : Journée mondiale de la justice sociale
27 : Journée mondiale des ONG
01 : Journée « zéro discrimination »
03 : Journée mondiale de la vie sauvage
08 : Journée mondiale des droits des femmes
15 : Digital CleanUp Day
18 : Journée mondiale du recyclage
19 : Talents for the Planet Paris
20 : Journée mondiale sans viande
22 : Journée mondiale de l’eau
30 : Journée internationale du zéro déchet
Du 20 au 30 mars : Semaine pour les alternatives aux pesticides
Du 29 mars au 13 avril : Quinzaine du compostage “Tous au Compost !“
Du 29 mars au 13 avril : Quinzaine du compostage “Tous au Compost !“
07 : Journée mondiale de la santé
22 : Journée mondiale de la Terre
28 : Journée mondiale de la santé et de la sécurité au travail
Mai : Mai à vélo
01 : Fête du travail
08 : Journée mondiale de la Croix Rouge
10 : Journée mondiale du commerce équitable
11 : Journée mondiale des espèces menacées
12 : Journée internationale de la santé des végétaux
20 : Journée mondiale des abeilles
22 : Journée mondiale de la biodiversité
02 : Journée mondiale pour un Tourisme Responsable
03 : Journée mondiale du vélo
05 : Journée mondiale de l’environnement
08 : Journée mondiale des océans
Du 10 au 12 juin : Semaine européenne de l’énergie durable
Du 10 au 12 juin : Salon Preventica Paris
14 : Journée mondiale des donneurs de sang
15 : Journée mondiale contre la faim
17 : Journée mondiale contre la désertification et la sécheresse
Du 17 au 21 juin : Semaine pour la qualité de vie au travail
03 : Journée mondiale sans sacs plastique
11 : Journée mondiale de la population
19 : Journée mondiale de l’aide humanitaire
25 : Journée mondiale des vêtements d'occasion
05 : Journée mondiale de la charité
07 : Journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus
16 : Journée internationale de la protection de la couche d’ozone
Du 16 au 22 septembre : Semaine de la mobilité
18 : Journée internationale de l’égalité de rémunération
18 septembre au 8 octobre : Semaine du développement durable
21 : World CleanUp Day
21 : Journée mondiale de la paix
22 : Journée mondiale sans voiture
01 : Journée mondiale du végétarisme
07 : Journée mondiale pour le travail décent
Du 8 au 9 octobre : Salon Produrable
13 : Journée mondiale de la prévention des catastrophes naturelles
Du 14 au 16 octobre : Salon Preventica Bordeaux
16 : Journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire
Novembre : Mois de l’Economie Sociale et Solidaire
06 : Journée mondiale sans papier
21 : DuoDay Emploi & Handicap
25 : Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
29 : Journée mondiale sans achat
02 : Giving Tuesday
03 : Journée mondiale des personnes en situation de handicap
05 : Journée mondiale de l'égalité des chances
08 : Journée mondiale du climat
10 : Journée mondiale des droits de l’homme
Du 10 au 21 novembre : COP 30
20 : Journée mondiale de la solidarité humaine
Avec plus de 5 ans d'expérience dans la RSE, l'équipe Rupture Engagée vous accompagne dans les différentes étapes de votre démarche RSE. De la structuration à la communication en passant par la sensibilisation et le déploiement, nous vous proposons un accompagnement 100% sur-mesure !
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Le rapport RSE est un rapport qui a pour but de communiquer de manière formelle, les engagements et les actions d’une entreprise en faveur des sujets sociaux et environnementaux. En 2025 certaines entreprises se voient dans l’obligation de publier un rapport sur des éléments extra-financiers en vue de la réglementation CSRD.
Le rapport de Responsabilité Sociétale des Entreprises est un document qui fait un état des lieux des engagements de l'entreprise envers les sujets environnementaux et sociétaux. Il est publié par les entreprises de manière volontaire tous les ans.
Non, le rapport RSE ne devient pas obligatoire en 2025, ce qui devient obligatoire par le biais de la réglementation CSRD, c’est de publier un rapport de durabilité. Le rapport de durabilité est souvent appelé rapport RSE de manière informelle, car ils sont très similaires de par leur contenu.
Ainsi, au sens strict du terme, le rapport RSE n’est pas obligatoire en 2025.
Rapport RSE : rapport publié volontairement par une entreprise souhaitant mettre en valeur ses engagements sur des sujets environnementaux, sociaux et sociétaux.
Rapport de durabilité : livrable attendu par la directive européenne CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) relative à la publication d’informations sur la durabilité des entreprises.
DPEF (Déclaration de Performance Extra-Financière) : ancienne appellation du rapport de durabilité utilisée avant l’entrée en vigueur de la directive CSRD, anciennement NFRD.
Ces 3 documents sont souvent confondus puisque nous avons l’habitude d’employer le terme “rapport RSE” dans notre langage courant pour les désigner.
En effet, on retrouve dans tous ces documents les mêmes informations ou bien des informations similaires. La différence se trouve dans leur encadrement légal.
Un rapport RSE peut contenir toutes les informations que l’entreprise souhaite partager puisqu’il n’a pas pour vocation de répondre à une réglementation particulière.
Cependant, le rapport de durabilité doit contenir des informations spécifiques sur les 3 thématiques de la CSRD :
Pour rendre compte de l’impact de l’entreprise sur le changement climatique, le rapport RSE doit contenir un Bilan Carbone® (bilan GES). Il va permettre de mesurer les émissions de gaz à effet de serre de l’entreprise, et donc sa contribution au dérèglement climatique.
Le rapport RSE, dans sa définition, n’est pas encadré légalement et est publié au bon vouloir des entreprises.
Cependant, le rapport de durabilité, parfois renommé rapport RSE, est bien inscrit dans un cadre légal qu’est la CSRD.
La CSRD, ou Corporate Sustainability Reporting Directive, est une directive européenne renforçant les obligations de publication d’informations au sujet de la durabilité des entreprises.
Cette réglementation attend des entreprises la publication d’un rapport de durabilité communiquant des informations sur les 3 thématiques suivantes :
Les informations publiées dans le rapport de durabilité devront être vérifiées par un organisme tiers pour certifier la véracité des informations communiquées dans le rapport.
Comme nous l’avons expliqué précédemment, ce n’est pas le rapport RSE qui devient obligatoire, mais bien le rapport de durabilité.
Tout d’abord, le rapport de durabilité d’une entreprise porte sur les performances de l’année passée. Il doit être publié à la fin d’un exercice comptable. Ainsi, les entreprises concernées par la CSRD en 2025, devront établir un rapport de durabilité sur les données de l’exercice 2024.
En 2025, les entreprises soumises à la directive CSRD sont celles qui étaient déjà concernées par la NFRD et donc qui sont dans l’obligation de publier une DPEF. Ainsi, sont concernées les entreprises remplissant au moins 2 de ces 3 critères :
Le rapport RSE constitue une preuve de vos engagements et de vos actions en matière de RSE. C’est un outil de communication efficace à partager avec vos différentes parties prenantes telles que vos collaborateurs, vos fournisseurs, vos actionnaires et autres.
Vous pouvez y partager vos objectifs, les actions mises en place, des témoignages, vos engagements et vos ambitions concernant la RSE.
N’hésitez pas à aller voir notre webinaire au sujet de la communication de vos engagements RSE en cliquant juste ici !
Nous vous accompagnons dans la communication de vos engagements RSE en vous conseillant dans la rédaction de votre rapport RSE ou de votre rapport de durabilité pour répondre aux contraintes réglementaires.
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Jeudi dernier, nous participions au Salon de la Neutralité Carbone et de la RSE lors duquel Marion est intervenue lors d’une table ronde pour éclaircir le sujet des labels RSE.
Les labels RSE sont souvent vus comme l'objectif final pour une entreprise qui déploie sa démarche RSE. Les labels sont vus comme la validation de leurs actions.
Mais pourquoi obtenir un label RSE ? Et surtout lequel choisir pour son entreprise ?
Jeudi 28 novembre 2024 se déroulait le Salon de la Neutralité Carbone et de la RSE organisé par la Coopérative Carbone et Résolution.
Marion Martinez, fondatrice de Rupture Engagée est intervenue lors d’une table ronde au sujet des labels RSE aux côtés de Tom Coulonnier du Groupe Sica Atlantique avec comme animatrice, Solenne Jaupitre.
Les intervenants ont évoqué leur retour d’expérience au sujet des différents labels RSE afin que les entreprises puissent valoriser leur démarche RSE et de développement durable.
Un label est une certification qui évalue vos actions en fonction d’un ensemble de critères défini au préalable dans un référentiel précis.
Ainsi, un label RSE est une certification qui va attester de vos engagements et de vos actions sur les différents sujets relatifs à la RSE.
La RSE porte sur 7 thèmes définis par la norme ISO26000, à la différence d’un label, la norme ISO26000 est un référentiel non certifiable qui définit ce qu’est la RSE.
Voici les 7 thèmes évalués lors de l’obtention d’un label :
Chaque label est différent en raison du niveau d'exigence demandé sur les différents sujets. C'est un aspect à prendre en compte lors du choix de son label puisque certains sont plus axés sur les aspects environnementaux, d’autres sur les aspects sociétaux et autres.
Il est également important de savoir que l’obtention d’un label RSE demande aux entreprises de s’inscrire dans une démarche d’amélioration continue. En effet, les labels RSE procèdent à des audits plusieurs mois après l’obtention du label pour vérifier que l’entreprise est toujours engagée sur tous les sujets évalués.
Les labels RSE attestent d’un certain niveau d’engagement sur des critères précis et par des organismes reconnus. Ils apportent ainsi plus de crédibilité à votre démarche puisque celle-ci a été évaluée et reconnue.
Les labels RSE sont un véritable avantage lors de la réponse à des appels à projet ou bien simplement lors d’une négociation. C'est un élément qui pèse dans la balance si le client est soucieux de son impact ou bien s’il s’inscrit lui-même dans une démarche RSE.
Dans cette situation, vous aurez davantage de chances de gagner la négociation face à une entreprise qui n’est pas labellisée.
S’engager dans l’obtention et dans la conservation d’un label RSE montre votre engagement pour les sujets sociétaux qui sont aujourd’hui très importants pour les consommateurs. En effet, 97% des français se disent prêts à boycotter des entreprises ayant des pratiques sociales ou environnementales destructrices (source : Sénat, 2020).
Pour en savoir plus sur ces labels, n’hésitez pas à consulter notre guide sur les labels RSE
Les labels RSE sectoriels sont des labels qui vont évaluer les entreprises sur des secteurs d’activités particuliers. Cela leur permet d’avoir un label plus adapté à leurs enjeux.
Les labels RSE thématiques évaluent plus en détails un aspect précis de la RSE.
Voici quelques exemples :
Votre activité est un élément clé à prendre en compte lors du choix de votre label RSE.
Il faut que celui-ci soit adapté aux caractéristiques de votre entreprise, de son fonctionnement et de son activité en général.
C’est pourquoi il est parfois intéressant de se tourner vers des labels RSE sectoriels dans un domaine d’activité précis puisqu’il sera au plus proche de vos enjeux.
Pour cela, il est important de bien définir et prioriser ses enjeux en termes de RSE pour ensuite choisir un label RSE qui évalue les critères que vous souhaitez mettre en valeur.
Dans certains cas, les labels RSE thématiques peuvent être une option adaptée.
Lors du choix de votre label RSE, vous devez être attentif aux critères évalués pour assurer l’obtention du label.
En effet, même si vous êtes engagés dans une démarche RSE, si vous ne répondez pas précisément aux critères du label, vous risquez de ne pas l’obtenir.
Une démarche RSE nécessite l’implication de vos parties prenantes tout au long de vos actions.
Ainsi, vous pouvez les consulter pour le choix de votre label RSE, qu’elles soient internes ou externes.
Notre équipe accompagne au quotidien des entreprises dans l’obtention d’un label RSE, pourquoi pas vous ?
Nous commencerons par un benchmark des labels RSE pour trouver celui qui sera le plus adapté et le plus pertinent pour votre entreprise.
Fêter Noël au sein d’une entreprise est un événement important pour la cohésion des équipes et pour favoriser les échanges informels. Ces moments sont très bénéfiques pour améliorer l'atmosphère générale de l’entreprise.
À l’approche des fêtes, les entreprises sont en pleine organisation de soirée, d’arbre de Noël, de cadeaux et autres, mais si vous avez une démarche RSE en interne, la réflexion va devoir aller au-delà des idées habituelles et trouver des alternatives pour un Noël responsable et engagé.
Les fêtes de fin d’année occupent une place centrale dans la culture française, symbolisant partage, générosité et convivialité. Cependant, derrière ces moments chaleureux se cachent des défis environnementaux majeurs. Entre les décorations souvent jetables, les millions de cadeaux non utilisés, les déplacements massifs en voiture, et les repas générateurs de gaspillage alimentaire, cette période festive engendre une empreinte écologique considérable.
La décoration joue un rôle central dans l’esprit des fêtes, mais son impact environnemental est souvent sous-estimé. En France, 66 % des Français achètent de nouvelles décorations chaque année, contribuant à une surconsommation de produits peu durables.
De plus, 4,2 millions de foyers installent des décorations lumineuses qu’ils laissent allumées durant toute la période des fêtes, générant à elles seules 2 % des émissions de gaz à effet de serre liés aux fêtes de fin d'année (136 kilotonnes de CO2).
Les cadeaux représentent une part importante des festivités, mais ils sont également responsables de 57 % des émissions de GES des fêtes de fin d’année, soit 3 575 kilotonnes de CO2.
En France, 300 millions de cadeaux sont offerts chaque année, dont 12 millions ne seront jamais utilisés et près d’1 million finiront directement à la poubelle.
Les trajets réalisés pendant les fêtes de fin d’année constituent 25 % des émissions de GES liées à cette période, soit 1 563 kilotonnes de CO2. En moyenne, les Français parcourent 177 km pour leurs festivités, et plus de 80 % des trajets sont effectués en voiture.
Le repas de Noël, symbole de convivialité, est aussi une source importante de gaspillage. En effet, 83 % des repas organisés pour les fêtes sont préparés en quantité excessive, entraînant un gaspillage alimentaire massif. Cela représente 15 % des émissions de GES des fêtes de fin d’année, soit 970 kilotonnes de CO2.
L'ensemble des données que nous vous avons présentées précédemment sont issues d’une étude menée par l’Ademe en septembre 2022.
Adopter une approche éco-responsable pour la décoration de Noël en entreprise permet de réduire son impact environnemental tout en insufflant une atmosphère chaleureuse et festive. Voici quelques idées pour concilier décoration et durabilité :
Offrir des cadeaux éco-responsables à vos collaborateurs et clients est une manière de célébrer Noël tout en affirmant votre engagement pour un avenir durable. Voici quelques suggestions pour des présents à la fois utiles et respectueux de l’environnement :
Un repas de Noël en entreprise peut être festif tout en étant respectueux de l’environnement. Voici des idées pour limiter son empreinte écologique et en faire un moment convivial et responsable :
La RSE commence par ce genre d'actions. C'est en décidant d'évoluer vers des habitudes plus responsables et engagées que tout commence.
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Rupture Engagée sera présente au Salon de la Neutralité Carbone de La Rochelle, un événement essentiel pour les entreprises en quête de solutions durables.Ce salon est l’opportunité de rencontrer l’équipe de Rupture Engagée.
Exposants, tables rondes, et ateliers interactifs seront au rendez-vous pour échanger autour des défis environnementaux et sociaux, une occasion idéale pour explorer des actions concrètes vers un avenir plus durable !
Le Salon de la Neutralité Carbone de La Rochelle, co-organisé par la Coopérative Carbone et Résolution, est un événement clé pour les acteurs de la transition écologique et de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
Conçu comme un double salon, il met en avant des solutions innovantes pour atteindre la neutralité carbone et développer des stratégies RSE efficaces. Ce rendez-vous réunit experts, entreprises et collectivités, favorisant l’échange autour de pratiques durables et de technologies pour réduire les impacts environnementaux et sociétaux.
Le Salon professionnel de la Neutralité Carbone rassemblera des exposants et organisera des tables rondes dédiées aux enjeux environnementaux comme la décarbonation et la mobilité.
En parallèle, l’espace Résolution abordera des questions sociétales telles que la qualité de vie au travail, la parité, l’inclusion, et la gouvernance. Les exposants seront regroupés dans une zone commune, tandis que des conférences spécialisées se tiendront dans des salles distinctes pour chaque thématique.
La table ronde "Perdu dans la jungle des labels ? Suivez le guide !" se tiendra à la Salle Chanchardon de 10h30 à 11h15, et proposera une session éclairante pour démystifier les différents labels environnementaux et RSE.
Destinée aux entreprises et acteurs en quête de solutions de certification, cette table ronde offrira des clés pour naviguer efficacement dans l’univers des labels, comprendre leurs critères et choisir ceux qui correspondent le mieux à leurs enjeux.
Marion Martinez, fondatrice de Rupture Engagée, interviendra pour partager son expertise et aider les entreprises à naviguer dans cet univers complexe.
Retrouvez notre équipe presque au complet lors du Salon de la Neutralité Carbone le jeudi 28 novembre 2024.
Nous serons heureux de pouvoir échanger et vous rencontrer !
Marion MARTINEZ
Fondatrice et co-gérante de Rupture Engagée
Vincent FRANCFORT
Co-gérant de Rupture Engagée
Charline PRUDENT
Consultante RSE au sein de Rupture Engagée
La neutralité carbone est un enjeu majeur pour les entreprises soucieuses de réduire leur empreinte environnementale et de répondre aux exigences légales et sociétales croissantes.
Atteindre la neutralité carbone permet non seulement de limiter les impacts écologiques, mais aussi d'améliorer la compétitivité en se conformant aux attentes des consommateurs et des investisseurs.
Les entreprises engagées dans cette démarche bénéficient d'une image renforcée, tout en anticipant les évolutions réglementaires et en optimisant leurs coûts énergétiques.
La Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) désigne l'engagement volontaire des entreprises à intégrer le développement durable dans leurs activités. Cela passe par des réflexions sur des préoccupations sociales, environnementales et économiques.
Adopter une démarche RSE permet aux entreprises de concilier performance économique et impact positif sur la société et l’environnement.
De plus en plus perçue comme un levier stratégique, la RSE renforce la réputation des entreprises, fidélise les clients et attire les talents. Elle devient ainsi un atout majeur pour toute organisation cherchant à se démarquer et à répondre aux attentes des parties prenantes tout en contribuant au développement durable
Sur notre stand ou lors de la table ronde, nous vous attendons nombreux et avons hâte de vous rencontrer lors de la 3ème édition du Salon de la Neutralité Carbone.
Vous pouvez, si vous le souhaitez, prendre rendez-vous pour échanger lors du salon.
L’organisation d’événements écoresponsables est essentielle pour relever les défis environnementaux actuels. Chaque événement comporte des enjeux spécifiques en matière de durabilité.
Cet article explore les clés d’un événement écoresponsable, des choix alimentaires à la gestion des déchets, tout en soulignant l’importance de normes telles que l’ISO 20121 pour garantir un impact positif.
Le secteur de l’événementiel fait face à des défis majeurs en matière d'impact environnemental, qu'il s'agisse des festivals en plein air, des conférences ou des salons. Sur le plan social, l'inclusion et la gestion responsable du public sont également cruciales
C’est pourquoi il est essentiel, aujourd’hui, de maîtriser l’art de l’organisation d’un événement écoresponsable. Adopter des pratiques durables permet de limiter les impacts négatifs tout en offrant une expérience positive aux participants.
Un événement écoresponsable doit prendre en compte les enjeux liés à l’alimentation proposée au public, car celle-ci a un impact direct sur l'environnement.
Par exemple, un repas à base de viande de bœuf émet jusqu'à 14 fois plus de CO2 qu'un repas végétarien selon l'ADEME, ce qui en fait un facteur clé dans la réduction de l'empreinte carbone d’un événement.
Prenons le cas du festival Les Vieilles Charrues, qui consommait 9 tonnes de viande en 2009.
L'alimentation joue un rôle majeur dans l'empreinte carbone de tels festivals, avec des émissions pouvant atteindre entre 2 000 et 4 000 tonnes d’équivalent CO2.
Source : The Shift Project
La gestion des énergies est un aspect crucial dans l'organisation d'un événement écoresponsable, car les infrastructures et les bâtiments où se déroulent les événements peuvent avoir une empreinte énergétique importante.
Par exemple, une Scène Nationale peut consommer jusqu’à 1 000 MWh par an en électricité pour l'éclairage, la climatisation, et le fonctionnement de son matériel de scène, générant environ 50 tonnes d’équivalent CO2.
Source : The Shift Project
La mobilité et les transports représentent un enjeu majeur dans l'organisation d'un événement écoresponsable, car 79 % de l'impact carbone d’un événement provient du transport des participants et de la logistique associée.
Prenons l'exemple d'un festival rassemblant 280 000 personnes, qui pourrait générer entre 7 000 et 8 000 tonnes équivalent CO2 liées aux déplacements de ses spectateurs. De plus, la moitié de ces émissions proviendront de seulement 3 % des spectateurs ayant fait le choix de venir en avion.
Source : The Shift Project
L’écoconception d’un événement désigne la prise en compte des impacts environnementaux et sociétaux durant toutes les étapes de son cycle de vie :
L'éco-conception d'événement est un processus qui intègre des principes de durabilité et de respect de l'environnement dans la planification, la réalisation et le suivi d'un événement.
Cela implique de minimiser l'impact écologique en prenant en compte l'ensemble du cycle de vie de l'événement, depuis la conception jusqu'à la déconstruction.
La norme ISO 20121 est un référentiel international qui vise à aider les organisateurs d'événements à intégrer des pratiques de développement durable tout au long du cycle de vie de leurs projets
Établie en 2012, cette norme fournit un cadre pour la mise en place d’un système de management responsable, permettant ainsi de minimiser l'impact environnemental, social et économique des événements.
En adoptant la norme ISO 20121, les organisateurs s'engagent à promouvoir des événements écoresponsables qui répondent aux attentes des parties prenantes tout en respectant les principes du développement durable.
La norme ISO 20121 repose sur plusieurs grands principes qui guident les organisateurs dans leur démarche écoresponsable :
En intégrant la norme ISO 20121, les organisateurs d'événements peuvent bénéficier de plusieurs avantages :
Rupture Engagée, c’est une approche bienveillante, pédagogue, en vous assurant d’être à l’écoute de vos besoins. Nous n'hésiterons pas à vous challenger pour impulser le changement sur des points clés de votre activité.
Rupture Engagée c’est aussi une vraie expérience auprès de plus de 80 clients issus de multiples secteurs d’activités et avec la connaissance de multiples référentiels et labels RSE.
Alors ? Vous souhaitez engager votre rupture ?
En tant qu’entreprise, vous avez probablement déjà envisagé de mettre en place une démarche RSE, mais peut-être que les contraintes de temps ou de ressources vous ont ralenti.
Notre projet Pro Bono vous offre 2 jours d’accompagnement RSE gratuit pour poser les bases d’une démarche RSE solide et durable. Vous bénéficierez de notre expertise pour renforcer votre engagement envers la société et l’environnement.
Le Pro Bono est un concept qui implique que des experts dans divers domaines, tels que le droit, le conseil, la communication ou la gestion, offrent leurs compétences et leur savoir-faire sans rémunération pour soutenir des organisations.
Dans notre cas, le Pro Bono s'inscrit dans notre démarche RSE durant lequel nous mettons à disposition notre temps et nos compétences au service d'une cause. Cet accompagnement RSE permet à des organisations aux ressources limitées d’accéder à un accompagnement de qualité et contribue au développement d’une économie plus solidaire et responsable.
Notre objectif est de consacrer une partie de notre temps de travail à une organisation pour lui offrir un accompagnement RSE gratuit
Ces 2 jours permettront à l’organisation de poser les bases de leur démarche RSE, sans réunir de moyens financiers conséquents.
En participant à ce projet Pro Bono, non seulement vous posez les fondations d’une stratégie RSE pérenne, mais vous profitez également de nombreux avantages.
Cet accompagnement RSE gratuit vous permet de bénéficier de l’expertise de professionnels du domaine pour vous soutenir dans le lancement de votre démarche RSE.
Nous vous guiderons dans cet engagement qui peut paraître complexe sans l’aide d’un professionnel.
Votre entreprise sera perçue comme responsable et engagée par vos clients, vos partenaires, et vos salariés.
Cela améliorera votre attractivité, renforcera la fidélité de vos clients et mobilisera vos équipes autour de valeurs fortes.
L’amélioration du climat interne grâce à l’engagement des salariés est un effet puissant et souvent sous-estimé des initiatives de RSE.
En effet, impliquer les employés dans des projets à impact social ou environnemental peut profondément transformer l'atmosphère de travail et la dynamique interne d'une entreprise.
L’accompagnement que nous offrons est plus adapté à des structures à taille humaine, c’est pourquoi nous avons choisi de limiter ce projet aux organisations comptant moins de 25 salariés.
Cela nous permet de fournir un soutien plus personnalisé et en phase avec les besoins spécifiques des petites entreprises.
Afin d'avoir un impact local et ciblé, nous concentrons notre accompagnement sur un territoire restreint. Les organisations éligibles doivent être basées dans les départements suivants :
Pour vous accompagner dans votre démarche RSE, il faut que vous puissiez être disponible et prêt à allouer du temps et des ressources pour vous impliquer dans ce projet en interne.
Pour ce projet, nous organisons des sortes d’auditions pour sélectionner un projet, une organisation à accompagner, pour cela, nous avons découpé le processus en 4 grandes étapes.
Vous avez jusqu’au vendredi 29 novembre pour partager votre projet et pourquoi vous souhaitez vous engager dans une démarche RSE.
Début décembre, nous inviterons les organisations présélectionnées à pitcher leur projet. C’est l’occasion de convaincre notre équipe que votre entreprise mérite cet accompagnement.
Mi-décembre, après les auditions, nous planifierons avec l'organisation sélectionnée, les 2 journées d’accompagnement pour début 2025.
Dès janvier 2025, nous serons à vos côtés pour vous aider à structurer et déployer une démarche RSE qui vous ressemble.
L’accompagnement que nous vous proposons est un exemple des actions que nous pouvons mener dans un délai de 2 journées de travail, soit 14 heures. Cependant, nous adapterons cet accompagnement pour qu’ils correspondent à vos besoins.
Il fait un état des lieux des bonnes pratiques RSE de votre entreprise pour identifier les actions déjà existantes et les facettes de votre activité qui devront être améliorées.
L’audit RSE vous aidera à y voir plus clair sur votre situation en faisant un bilan de votre activité et de son impact RSE pour ensuite mettre en place des actions concrètes.
Suite à l’audit, nous ferons une restitution de ce que nous avons observé et nous vous proposerons des actions à mettre en place.
Nous animerons au sein de votre organisation, 2 ateliers durant lesquels nous accompagnerons vos collaborateurs à réfléchir ensemble à des actions qui pourraient être mises en place pour déployer votre démarche RSE.
Lors de cet accompagnement RSE, nous avons prévu d’animer l’atelier de votre choix pour sensibiliser vos collaborateurs aux enjeux environnementaux et sociétaux liés à votre organisation comme La Fresque du Climat par exemple.
Pour formaliser le travail fait pour lancer votre démarche RSE, nous allons créer votre politique RSE sous la forme d’un document officiel retraçant vos engagements et vos objectifs.
Rupture Engagée, c’est une approche bienveillante, pédagogue, en vous assurant d’être à l’écoute de vos besoins. Nous n'hésiterons pas à vous challenger pour impulser le changement sur des points clés de votre activité.
Rupture Engagée c’est aussi une vraie expérience auprès de plus de 80 clients issus de multiples secteurs d’activités et avec la connaissance de multiples référentiels et labels RSE.
Alors ? Vous souhaitez engager votre rupture ?
Lors du déploiement d’une démarche RSE, l’audit est le point de départ. Il permet de faire un état des lieux dans le but de fixer des objectifs clairs pour organiser la démarche RSE en fonction des besoins de l’entreprise.
L’audit RSE est non seulement la 1ère étape d'une démarche RSE, mais c'est surtout une étape obligatoire si vous souhaitez lancer une démarche RSE dans votre entreprise.
Il fait un état des lieux des bonnes pratiques RSE de votre entreprise pour identifier les actions en déjà existantes et les facettes de votre activité qui devront être améliorées.
L’audit RSE vous aidera à y voir plus clair sur votre situation en faisant un bilan de votre activité et de son impact RSE pour ensuite mettre en place des actions.
L’objectif de l’audit RSE est de déployer une politique RSE adaptée et pertinente en fonction de l’activité de votre entreprise pour que les actions mises en place soient en accord avec vos besoins d’amélioration.
En effet, il est parfois facile de choisir des actions à déployer, mais si celles-ci ne répondent pas à vos besoins et ne sont pas adaptées à votre activité, le résultat pourrait être décevant.
L’audit va également permettre de sonder les différentes parties prenantes au sein de votre entreprise pour identifier leurs attentes et leurs besoins.
Les données récoltées lors de votre audit RSE serviront de base de travail pour les étapes suivantes de votre démarche RSE. Elles seront utiles lors de la double matérialité, lors de l’identification des parties prenantes ou encore lors l'élaboration du plan d’action.
Lorsque nous auditons une entreprise, nous préparons un plan d’audit qui nous permet d’organiser les différentes étapes de l’audit RSE en établissant quelles seront les personnes interviewées, quelles seront les thématiques abordées et quand la visite du site aura lieu.
Un audit RSE se découpe en 6 étapes :
Planification de l'audit : nous définirons ensemble vos objectifs, le périmètre de l’audit, ainsi que vos parties prenantes.
Collecte des données : nous recueillerons toutes les données nécessaires à la réalisation de l’audit (documents RSE internes, procédures…).
Analyse des données : pour identifier les écarts entre les pratiques de l'entreprise et les attentes en matière de RSE.
Évaluation des risques : nous évaluerons les risques environnementaux, sociaux, éthiques ou de réputation pour l'entreprise.
Échange avec les collaborateurs : pour obtenir des informations supplémentaires sur les pratiques et la perception de l'entreprise en matière de RSE.
Restitution des résultats : une réunion de restitution et un rapport d'audit pour vous présenter les résultats de l'audit et des préconisations.
Tout d’abord, nous commencerons toujours par vous expliquer les objectifs du rendez-vous et ses modalités.
Ensuite, l’entretien se déroule sous forme de questions / réponses à propos de différents sujets qui peuvent être résumés par les 7 thèmes de la RSE :
Les questions posées sont issues du référentiel de la norme ISO 26000, norme de référence en RSE.
L’objectif d’un audit RSE est de faire un état des lieux général de la situation de votre entreprise. Pour cela, nous devons interviewer tous les types de collaborateurs présents au sein de votre entreprise en faisant varier leur ancienneté, leur niveau de responsabilité et leur métier.
Voici la liste des collaborateurs qui seront interviewés lors de l’audit RSE :
Nous adaptons les questions en fonction des caractéristiques de chaque groupe de personnes interrogées.
Pour faciliter le déroulement de votre audit RSE, il est important de s’organiser à l’avance.
Nous vous conseillons donc de rassembler l’ensemble de la documentation qui vous semble pertinente dans le cadre de votre audit RSE. Cela vous permettra de gagner du temps le jour J lorsque l’auditeur vous demandera des informations spécifiques.
Ensuite, veillez à ce que les collaborateurs interviewés soient informés de la date et de l’heure du rendez-vous afin qu’ils soient disponibles le moment venu. Idem pour les lieux d’interviews, ils doivent être prédéfinis à l’avance pour fluidifier le déroulement de l’audit RSE. Il est préférable de choisir des endroits calmes où vos collaborateurs se sentiront à l’aise pour répondre à nos questions.
En ce qui concerne la posture à adopter, nous vous conseillons d’être honnête, ne cherchez pas à cacher certains éléments de votre activité car cela pourrait vous être préjudiciable dans la suite de votre démarche RSE.
Le but de l’audit est de faire un état des lieux avec pour objectif d’améliorer vos actions en faveur de la RSE, il est donc important qu’il soit le plus représentatif de la réalité pour que votre démarche soit d’autant plus efficace.
Rupture Engagée, c’est une approche bienveillante, pédagogue, en vous assurant d’être à l’écoute de vos besoins. Nous n'hésiterons pas à vous challenger pour impulser le changement sur des points clés de votre activité.
Rupture Engagée c’est aussi une vraie expérience d’auditeur dans de multiples secteurs d’activités avec la connaissance de multiples référentiels et labels RSE.
Alors ? Vous souhaitez engager votre rupture ?